Médias, qui détient quoi ?

Aujourd’hui, à l’heure de la désinformation de masse, il est essentiel de savoir qui détient quels médias afin d’avoir une petite idée de leur orientation potentielle.

Voici une belle cartographie, régulièrement mise à jour par Le Monde Diplomatique et ACRIMED

Pour bien voir la carte, cliquez dans et vous pourrez zoomer.

Exemple, le magazine « Sciences et Avenir » (en haut à gauche) est contrôlé à 100% par le groupe Perdriel, lui même contrôlé par Claude Perdriel ainsi que par LVMH à hauteur de 40%, LVMH étant contrôlé à 47% par Bernard Arnaud.

Exercice : qui détient Europe 1, Canal+, Télé Loisirs, ou le magazine Géo ?

Surprise, c’est le même, Vincent Bolloré, qui est au départ de la chaîne !

Quant à La Dépêche, c’est la famille BAYLET, qui détient aussi Midi Libre, L’Indépendant ou Centre Presse.

Nouveaux ouvrages publiés par Edicausse

Nos amis d’Edicausse nous informent de la parution de 3 nouveaux ouvrages et des manifestations liées :

Cabrerets notre village, au confluent du Célé et de la Sagne . Maryse David et Michel Grépon, tous deux natifs du village, ont décidé d’unir leurs connaissances pour restituer le quotidien du bourg et ses écarts au fil du temps (lire la suite)
Prix de souscription 15 € au lieu de 20 € (jusqu’au 15 mars 2025)

> Du grain à moudre. Regards sur les meules de moulins AGENAIS / PÉRIGORD / QUERCY. Les meules, l’âme, le cœur des moulins ont, durant des siècles, contribué à nourrir les hommes. Alain Turq, conservateur du patrimoine nous en racontera la longue histoire, choix des matériaux, des carrières, des hommes qui les ont fabriquées, vendues ou entretenues (lire la suite)
Prix de souscription 20 € au lieu de 25 € (jusqu’au 30 avril 2025)

Alfred Roques, un des meilleurs piliers du rugby français des années 1950-1960 . Sélectionné en équipe de France à 33 ans, Alfred va connaître la gloire lors de la tournée en Afrique du Sud, en 1958. La presse sud africaine, très impressionnée, le surnommera « The Rock ». Il comptera trente sélections en équipe de France entre 1958 et 1963 (lire la suite)
 Prix de souscription 20 € au lieu de 25 € (jusqu’au 15 avril 2025)

Dédicaces :

16 mars 2025 : LABASTIDE-MARNHAC (salle des fêtes)
27 avril 2025 : TOUR-de-FAURE (salle des fêtes) salon des collectionneurs
29 juin 2025 : TOUR-de-FAURE (salle des fêtes) salon du livre

La Défenseure des droits dénonce de graves atteintes aux droits des enfants

A l’heure où l’affaire Bétharrram fait ressurgir les pires dérives des enseignements dits traditionalistes, on aurait pu penser que tout ceci appartenait au passé… Mais non, la Défenseur des droits est de nouveau obligée d’alerter sur la dégradation de plus en plus préoccupante de la protection de l’enfance et qui concerne aujourd’hui près de 400.000 enfants.

Elle révèle en effet que ces enfants n’ont pas bénéficié de l’accompagnement et de la protection auxquels ils peuvent prétendre, au détriment de leur droit à la santé, à l’éducation, à la mise à l’abri, à la protection contre les violences…

Or, l’État, garant du respect de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant, porte une responsabilité majeure dans les atteintes aux droits de ces enfants. Il lui appartient de renforcer son implication auprès des départements (…). Les moyens humains et financiers de la justice sont à renforcer. C’est aussi à l’école qu’il faut donner les moyens d’assurer son rôle dans la protection des enfants. Et en matière de santé, et de santé mentale particulièrement, il incombe à l’État de développer une offre sanitaire et médico-sociale adaptées aux enfants accompagnés en protection de l’enfance.

Quant aux départements, chefs de file de la protection de l’enfance, ils doivent parvenir à une mise en œuvre plus efficiente des moyens et des ressources pour redresser et stabiliser leur dispositif.

Les situations traitées par l’institution interrogent sur la considération que notre société porte à la protection de l’enfance, aux politiques de lutte contre la pauvreté et au soutien à la parentalité.

La Défenseure des droits adresse 46 recommandations à l’État via les ministères concernés, aux préfectures, aux agences régionales de santé, ainsi qu’aux départements.

Pour en savoir plus, c’est ICI.

 

Ciné-Débat à Souillac vendredi 14 février à 20h

Nos amis d’ATTAC 46 Souillac nous invitent à une projection-débat au cinéma « Le Paris » de Souillac pour découvrir un film en sortie nationale cette semaine.

Ce vendredi 14 février à 20h, nous pourrons découvrir le film documentaire résolument optimiste: « Dreamland »:

Comment inciter la jeunesse à garder ses rêves et les réaliser ? Pour répondre à cette question, nous partons en voyage à la rencontre des jeunes du monde entier. Ils nous parleront d’eux, de leurs expériences, de ce qui les a construit mais aussi et surtout de leurs rêves, de leur avenir et de celui de leur pays. Oui, il est encore possible de rêver. Et bien souvent, les rêveurs deviennent les bâtisseurs du monde de demain.

Voici un aperçu de ce documentaire plein d’espoir:

Parmi les nombreuses critiques de spectateurs en voici une: « Magnifique documentaire qui donne de l’espoir et beaucoup d’émotions ! Si je devais le décrire en 3 mots : surprenant, poignant et généreux. Un grand merci aux réalisateurs ».

Si vous souhaitez covoiturer depuis Gignac, contactez-nous.

Gignac, En Quercy ou pas ?

Au 1er janvier 2025, huit communes françaises ont changé de nom:

Faux (Dordogne) est devenue Faux-en-Périgord
Saint-Christophe-sur-Dolaison (Haute-Loire) est devenue Saint-Christophe-sur-Dolaizon
Roche (Loire) est devenue Roche-en-Forez
Grigny (Rhône) est devenue Grigny-sur-Rhône
Rousset (Hautes-Alpes) est devenue Rousset-Serre-Ponçon
Le Cheix (Puy-de-Dôme) est devenue Le Cheix-sur-Morge
Montcourt-Fromonville (Seine-et-Marne) a perdu une lettre et est devenue Moncourt-Fromonville.
Et Le Vigan (Lot) est devenue Le Vigan-en-Quercy

Si Le Vigan le peut, pourquoi Gignac ne le pourrait-il pas ?

D’autant que ce débat agite la microsphère locale depuis longtemps,

D’autant que certains ont déjà allègrement franchi le pas,

 

Quatre « Gignac » en France, n’est-ce pas un peu trop ?

 

Gignac (Vaucluse)

Gignac (Hérault)

Gignac-la-Nerthe (Bouches-du-Rhône)

 

Pourquoi ne demanderait-on pas à nos concitoyens eux-mêmes ce qu’ils en pensent ?

 

Coup dur pour le secteur de la solidarité internationale…

Dans le cadre du projet de loi de finances pour 2025, de nombreux secteurs font l’objet de coupures budgétaires. Parmi eux, les secteurs de la Culture, de l’Enseignement supérieur, de l’Écologie ou encore de l’Agriculture. Mais un autre secteur nous intéresse plus particulièrement ici puisqu’il est loin d’avoir été épargné pour « redresser les finances du pays » : celui de la solidarité internationale.

Plus du tiers du budget de l’APD – l’Aide Publique au Développement – a été sabré, soit au moins 2 milliards d’euros, une somme colossale dédiée au soutien à l’accès aux droits fondamentaux pour de nombreuses populations vulnérables dans le monde. Pourtant, c’est un secteur déjà en manque de moyens et loin d’être porté au-devant de la scène…

Décryptage sur cette coupe drastique réalisée par le ministère des Affaires étrangères dans une chronique de France Culture (5 min) à écouter ICI.

Par ailleurs, plus de 170 organisations ont signé une lettre ouverte à l’attention de Jean-Noël Barrot pour dénoncer cette coupe qui met grandement à mal le secteur dans lequel elles œuvrent. Voici le début de cette lettre :

Monsieur le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères,

Nous, associations de solidarité internationale, personnes salariées, bénévoles, volontaires, chercheurs et chercheuses, étudiantes et étudiants préoccupés par l’avenir, Françaises et Français attachés aux valeurs de solidarité, sommes choqués par votre projet de budget pour l’aide publique au développement en 2025. S’il était adopté, il acterait une dynamique de repli sur soi et un abandon irresponsable de la solidarité internationale.

Les coupes d’une ampleur inédite que vous proposez – 2,1 milliards d’euros, soit près de 40 % du budget de l’aide publique au développement – remettent en cause l’accès à des droits fondamentaux : la santé, l’éducation, l’eau, l’alimentation, la protection sociale et la nutrition. Vous sacrifiez également le soutien indispensable aux droits humains, à la société civile et à la lutte contre les inégalités, notamment celles qui touchent les femmes, les filles et les personnes marginalisées. Vous tournez le dos aux engagements français face aux crises climatiques et humanitaires qui exigent une réponse urgente et ambitieuse.

La lettre a été publiée dans le journal Libération, vous pouvez la retrouver ICI (dans son intégralité si vous êtes abonné).

Gaspillage alimentaire, qui est responsable ?

Mais oui, qui est responsable ?

Le citoyen lambda qui se voit toujours pointé du doigt ?

Ou bien ce ne serait pas un petit peu organisé par les normes de l’agrobusiness et de la grande distribution ?

Vous saurez tout lors de ce ciné-débat en venant vendredi 21 février au Centre Culturel de Brive.

Comme d’habitude, co-voiturage possible.

Aux Arques, « Jour de fêtes », 34ème résidence d’artistes de mars à août

Pour la 34ème résidence de recherche et création, Les Ateliers des Arques invitent Anne-Laure Lestage, commissaire indépendante dont la pratique croise art contemporain, arts décoratifs et artisanat.

Du 27 mars au 29 août 2025, le hameau accueille une dizaine d’artistes français·es et internationaux, à se réapproprier des coutumes de village et plus précisément la fête populaire.

Bien que le titre s’appuie sur le film éponyme de Jacques Tati, Jours de Fêtes s’écrit au pluriel et se présente comme une annonce, celle d’un lieu de rencontres conviviales entre l’artiste, l’habitant, le visiteur, où l’émotion et le plaisir deviennent des forces communes, sans autres attentes que de vivre-ensemble.

Le programme :

Jeudi 27 mars à 18h
Lancement de la résidence / salle de l’Alambic
Présentation du projet curatorial et de la démarche des artistes en résidence

Jeudi 15 mai à 18h
Visite des ateliers et concert / place du village

Échanges avec les artistes et présentation des recherches en cours + rencontre autour de « Adagio en Fa# mineur – Concerto pour poutre à cordes », avec Jacques Averna et la complicité de Maud Guyon.

Vendredi 27 juin à 19h
Repas de fête et vernissage / place du village

Du samedi 28 juin au vendredi 29 août
Exposition dans le village :
– en semaine, les mardis et jeudis : 13h30-17h30 ; les mercredis et vendredis : 10h30-12h30 et 13h30-17h30
– le week-end : 14h30-18h30

Renseignements : Le Presbytère, 46250 LES ARQUES, ateliersdesarques@gmail.com