Cinéma à Souillac vendredi 7 janvier

Vendredi 7 janvier à 20h30, au cinéma « Le Paris », vous sera projeté le film « La Bataille de la Plaine » de Sandra Ach, Nicolas Burlaud & Thomas Hakenholz. Cette projection est organisée en partenariat avec le comité ATTAC Souillac.

Ce film retrace le récit d’une lutte autour d’un projet de requalification urbaine de la Plaine à Marseille.

Synopsis :
Marseille, une Ville d’Europe comme bien d’autres.
La Plaine, un quartier bouillonnant, une grande place, un marché historique et populaire.
Une bataille tumultueuse entre d’un côté les services d’urbanisme de la mairie, déterminés à mener un important programme de ”requalification” du quartier. De l’autre, une partie des habitant·e·s, qui refusent cette opération de gentrification, et réclament d’être associé·e·s aux décisions. Cette histoire épique dure 3 ans et se termine brutalement par l’invraisemblable construction d’un mur en béton de 2m50 de haut tout autour de la place.
La télévision du quartier, empreinte des récits de soulèvements passés, outil de contre-propagande tout au long de cette bataille, refuse de s’arrêter au constat d’une défaite et s’interroge. Le cinéma peut-il raconter ce qu’on est sûr·e·s d’avoir vécu et qui n’apparait pas dans le récit des vainqueurs ? Comment faire germer pour demain des imaginaires politiques enthousiastes sur lesquels les autres s’appuieront ? Convoquant les Communes Libres de 1871, leur rage joyeuse et enflammée, une écriture singulière s’empare alors de la fiction. Pour faire de ce combat collectif une aventure humaine victorieuse, une autre façon de fabriquer la ville et le monde s’entrevoient.

Le site du film et la bande annonce ICI.

Comme d’habitude, covoiturage possible, contactez-nous !

 

Et maintenant la Primaire populaire !

Il y a maintenant quelques semaines nous vous donnions à suivre la primaire écologique à laquelle nous avons participé non pas dans un souci partisan mais dans l’idée de se saisir de cet espace démocratique pour exercer notre rôle de citoyen responsable et concerné par la campagne pour l’élection présidentielle. Et voici qu’apparaît une nouvelle primaire, la Primaire populaire avec comme objectif : désigner un candidat unique à gauche.

Déjà en 2017, Thomas Piketty, dans une tribune se disait en faveur d’une primaire « des gauches et de l’écologie »: « D’abord parce qu’elle correspond à un profond besoin de renouvellement et de démocratie qui s’exprime en France« . Tous les arguments de l’économiste sont encore d’actualité aujourd’hui et l’article en entier est consultable ICI.

De même, nous aurions participé à une primaire ouverte de désignation du candidat du parti « Les Républicains ». Mais ce ne sera pas le cas car celle-ci est réservée aux seuls membres de ce parti.

Les primaires sont une alternative pour faire vivre notre aspiration à participer en amont à l’élection d’un nouveau président, notre envie d’être enfin acteur de ce choix autrement qu’en mettant simplement un bulletin dans une enveloppe le jour du vote.

Quel est l’objet de cette Primaire populaire ?

Pour faire court le mieux est de s’en remettre à l’article Wikipédia qui la présente :

« La primaire populaire est une élection primaire française initiée par des militants indépendants pour désigner un candidat commun de gauche à l’élection présidentielle de 2022. »

Pour plus de détails il suffit de se rendre sur le site même de la primaire ICI, car la définition ci-dessus est un peu courte dans le sens où au-delà de la gauche il est question de choisir la personnalité la plus à même de porter les valeurs écologiques, démocratiques et sociales et de se rassembler autour d’elle pour l’élection présidentielle de 2022.

Le vote se fera en un tour majoritaire à la mi-janvier.

Ensuite les personnalités (nombreuses et à retrouver sur le site de la primaire) s’engagent à faire campagne pour la personnalité choisie et son programme intégrant le Socle Commun. C’est-à-dire ce qui est à la base même de ce contrat électoral.

Mais les choses s’accélèrent pour la Primaire populaire.

Mercredi dernier, Arnaud Montebourg annonçait offrir sa candidature au rassemblement. Dans la même journée, Anne Hidalgo annonçait avoir changé d’avis, et souhaitait finalement participer au vote de la Primaire populaire.

Ces annonces montrent que la pression citoyenne fonctionne !

Et maintenant voici Christiane Tobira :

Elle avait pourtant affirmé en septembre au micro de France Inter qu’elle ne voulait pas « venir contribuer à l’éparpillement » de la gauche en se présentant elle aussi. Huit personnes sont actuellement candidates du côté de la gauche ou de l’écologie politique : Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière), Anne Hidalgo (Parti socialiste), Yannick Jadot (Europe Écologie – Les Verts), Anasse Kazib (Révolution permanente), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise), Arnaud Montebourg (ex-Parti socialiste), Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste) et Fabien Roussel (Parti communiste).

Elle justifie sa possible candidature comme un recours justement au possible éparpillement des votes de gauche. Elle a conclu son annonce ainsi : « Je vous donne rendez-vous à la mi-janvier.  » C’est à cette date que la Primaire populaire a prévu d’annoncer ses candidats. La vidéo de Christiane Taubira laisse donc entendre qu’elle souhaite participer à cette désignation.

A ce jour, 280 000 personnes se sont inscrites pour participer à cette primaire et partout en France des rassemblements sont prévus pour demander une candidature unique.

Ainsi un rassemblement populaire est prévu à Périgueux, mardi 21 décembre à 18.

La Primaire populaire se constitue en Dordogne – 1er rassemblement ce mardi 21 décembre à 18h pour ceux et celles qui seraient disponibles pour se connaître, se reconnaître, échanger et voir comment on peut soutenir ce dispositif jusqu’aux élections puis peut être installer ce mouvement populaire dans la durée pour accompagner l’union au delà des élections.

Au programme : Présentation de la Primaire Populaire et questions/réponses, suivie d’un temps d’échange permettant de planifier les prochaines actions de l’équipe locale !

Youssou N’Dour et Femi Kuti, têtes d’affiche du 23ème festival Africajarc

Après l’Ecaussystème et Brive festival,  Africajarc vient d’annoncer sa programmation pour l’édition 2022 qui aura lieu du 21 au 24 juillet à Cajarc.

Le nouveau bureau de l’association portant le festival Africajarc vient d’annoncer la programmation de la 23e édition du festival.

Celle-ci se caractérise d’abord par un retour aux sources sur les bords du Lot pour la grande scène et l’arrivée d’une nouvelle scène découverte gratuite et ouverte à tous place du Foirail.

Le grand retour de David Pradayrol, un des fondateurs d’Africajarc à la programmation au côté du nouveau président Laurent Courcelles, a rendu possible la venue de deux des plus grands stars de la musique africaine actuelle : Youssou N’Dour et Femi Kuti.

Mais le changement ne s’arrête pas là car ces deux stars qui ont longtemps porté la modernité au sein de la scène africaine vont être accompagnées par ce qui se fait de mieux en terme de nouvelles sonorités dans tous les styles, Rock, Funk, Hip-Hop, R&B, Electro ou Fusion.

Pour lire l’article complet et avoir accès à toute la programmation, cliquez ICI

La LGV Bordeaux-Toulouse et le département du Lot, dernier acte !

Le Département du Lot prêt à payer 29 millions d’euros pour la LGV Bordeaux-Toulouse, un seul élu contre !

Et que devient la ligne POLT (Paris, Orléans, Limoges, Toulouse) ?

Dans un article écrit par Jean-Claude Bonnemère et publié le 15 Décembre, Actu Lot (version web de La Vie Quercynoise) présente et explique les décisions du conseil départemental du Lot qui a, lundi 13 décembre 2021, validé le principe de la participation du Lot au financement de la future ligne de TGV Bordeaux-Toulouse.

Cet article très précis revient sur le long débat qui a agité les tribunes de l’assemblée départementale sur le vote pour ce projet de financement à 27 voix pour, 1 contre : celle de Francesco Testa tandis que six autres élus se sont abstenus : Alfred Mathieu Terlizzi, Gaëligue Jos, Véronique Arnaudet, Régis Villepontoux, Jean-Pierre Jammes et Dominique Bizat.

Il y a quelques semaines, nous vous avions déjà donné à lire les différents points de vue sur ce dossier à savoir ceux de Serge Rigal, le président du conseil départemental et de F. Testa, conseiller départemental. Vous retrouverez leurs dires quant à ce dossier dans l’article d’Actu Lot, dossier qui va impacter les finances du département sur une période assez longue.

La question que nous nous posons depuis le début de ce débat et qui reste encore pour l’instant sans réelle réponse est bien de savoir quel sera le bénéfice des lotois dans ce dossier. Et à la lecture de cet article, une autre interrogation se pose: ce bénéfice sera-t-il le même selon qu’on habite près de Cahors ou dans le Nord du département ?

Pour accéder à l’article cliquer ICI

Lots Arts Vivants, la lettre d’info de décembre 2021

Nous nous faisons de nouveau ce mois-ci le relais de la lettre de l’ADDA qui est devenue maintenant « Lots arts vivants », agence départementale pour le spectacle vivant. 

Cette lettre mensuelle a pour objet de nous faire connaître d’abord l’animation et les accompagnements de l’agence vers les musiques actuelles et ceci notamment, grâce au dispositif ‘Lot amplifié » qui permet aux groupes lotois de sortir de l’amateurisme et de se produire sur scène après des résidences artistiques aux Docks de Cahors.

Mais l’agence sait aussi passer de l’autre côté et accompagner et promouvoir des équipes artistiques et professionnelles lotoises par le biais de journées rencontres entre ces acteurs culturels, leur public et les différents organisateurs de spectacles sous toutes ses formes.

Au delà de ces deux actions fortes, Lots arts vivants n’oublie pas ceux qui sont indispensables à la mise en œuvre de bon nombre d’événements culturels sur notre département à savoir les bénévoles. Elle propose donc différentes actions pour  l’accompagnement et la formation des bénévoles associatifs.

Pour consulter la lettre d’information ainsi que l’agenda des formations et des sorties culturelles proposées et soutenues par l’agence , cliquez simplement ICI.

Témoignage : une jeune gignacoise engagée auprès des exilés

Une centaine de tentes dans un tunnel sous le périphérique parisien

Une interview réalisée par Gignac Ensemble

Qu’est-ce qui t’a amené à travailler aujourd’hui dans le domaine des droits humains ?

J’ai toujours été ouverte aux autres et curieuse de leur singularité que ce soit à travers mes pratiques artistiques ou mon engagement associatif. L’entraide, la solidarité sont naturelles pour moi, et avec l’âge et la maturité aider les autres est rapidement devenu un enjeu politique et un combat militant. En parallèle, mon parcours universitaire s’est orienté vers les sciences sociales, les sciences politiques puis vers le droit international et plus spécifiquement la question des droits humains. Ce qui fait que professionnellement je me dirige vers le domaine humanitaire. Mon engagement en tant que volontaire dans une ONG en Afrique du Sud a également été décisif.

Est-ce que tu peux nous en dire un peu plus sur cette expérience ?

J’ai vécu un mois dans un petit village sur la côte est sud-africaine au sein d’une communauté zoulou pour apporter mon aide à une petite ONG locale. Le but de celle-ci est de fournir des ressources indispensables à l’émancipation des jeunes de cette communauté vivant sous le seuil international de pauvreté, dans un pays où les inégalités sont criantes et les conflits interraciaux encore très présents. Cette aide sur le plan sanitaire et éducatif permet à ces jeunes d’entrevoir de meilleures perspectives d’avenir. Travailler là-bas nécessite bien sûr de se défaire de sa vision européanocentrée et d’agir dans le non-jugement. J’ai été obligée de m’adapter rapidement pour m’approprier un mode de vie et de pensée complètement nouveau pour moi. De ce point de vue, cette expérience a été très formatrice et j’ai tissé des liens forts avec les membres de la communauté.

As-tu retrouvé des points communs entre cette expérience et ce que tu fais actuellement ?

Absolument. Actuellement, je suis coresponsable du pôle « Hébergement solidaire » de l’association Utopia 56 à l’antenne de Paris. Celle-ci a pour but d’apporter une aide aux personnes exilées que ce soit sous forme de maraudes d’informations et de distributions pour les hommes seuls, ou sous forme de suivi et d’orientation vers d’autres associations et de solutions d’hébergement d’urgence pour les familles et les mineur.e.s. C’est une association qui prend en charge les personnes exilées de manière inconditionnelle c’est-à-dire quelque soit leur pays d’origine, leur parcours ou encore leur statut administratif. En cela, elle prône le respect de la dignité humaine, ce qui rejoint totalement les valeurs de l’ONG sud-africaine.

Peux-tu nous décrire ton travail au sein de cette association ?

La spécificité d’Utopia 56 dans le paysage associatif est de faire de l’intervention d’urgence en matière d’hébergement. En tant que chargée du pôle « Hébergement solidaire » ma mission principale est de gérer le réseau d’hébergeurs de l’association composé principalement de particuliers résidant à Paris et en Ile-de-France et de partenariats type paroisse. Effectivement, l’association organise des missions de mises à l’abri quotidiennes : chaque soir, des bénévoles sont sur le terrain pour recenser les familles s’enregistrant auprès de l’association et dans le même temps une personne dite d’astreinte tente de trouver des solutions d’hébergement d’urgence pour ces familles, le temps d’une nuit ou deux.

Qu’est-ce qui le plus difficile pour toi dans cette mission ?

Ces missions de mise à l’abri ne sont jamais simples. Il peut arriver que la personne d’astreinte trouve des solutions d’hébergement pour l’intégralité des familles présentes le soir même mais c’est rare. Alors, il faut accompagner les personnes pour qui nous n’avons pas trouvé d’hébergement dans un endroit choisi où nous montons un campement pour la nuit. Ce n’est pas évident de se contenter de donner des tentes et des couvertures à ces familles, parfois composées d’enfants, de bébés, surtout à cette saison. Les conditions hivernales accentuent encore leur situation de survie. Face à l’inaction de l’Etat qui ne bouge pas d’un pouce pour loger ces personnes, ne serait-ce qu’en mettant à leur disposition un gymnase par exemple, on éprouve un sentiment de révolte.

Est-ce que mettre l’Etat en face de ses responsabilités fait aussi partie de vos missions ?

Bien sûr. L’association n’a absolument pas pour but de se substituer à l’Etat, de jouer son rôle même si elle pallie son inaction. Elle veut aussi l’obliger à respecter ses engagements pris lorsque la France a par exemple ratifié en 1980 le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (le PIDESC) l’impliquant à mettre en place des mesures pour faire respecter nos droits fondamentaux tels que le droit à un logement adéquat. D’ailleurs, lorsque trop de familles se présentent à nous et que nous n’avons plus les moyens de les loger, nous déclenchons une action afin de pousser les pouvoirs publics à les prendre en charge. Depuis l’occupation de la Place de la République à Paris le 23 novembre 2020, l’association a été contrainte d’organiser 11 actions (soutenues par le Collectif Réquisitions) afin de restituer à ces personnes la dignité qui est la leur, ce qui représente 14 manifestations au total depuis l’existence de l’association.

Quels sont les moyens dont dispose l’association ?

Sachant qu’Utopia 56 dénonce l’inaction de l’Etat et sa violation des droits fondamentaux des exilés, elle tient à garder sa liberté de parole et d’action. Elle refuse donc toute subvention venant de lui. L’association est financée uniquement par des dons de particuliers et d’entreprises. Elle est composée de moins de 5 salariés à l’échelle nationale et sans ses nombreux bénévoles cette belle initiative ne pourrait pas fonctionner.

Comment peut-on faire pour aider cette association ?

Pour les personnes qui résident près des différentes antennes (Paris, Calais, Grande-Synthe, Lille, Rennes, Tours, Toulouse), l’association est très preneuse de divers dons matériels comme des vêtements, sacs, chaussures, couvertures et linge de maison, matériel scolaire, vélos, tentes, etc. Mais tout don d’argent nous est aussi précieux et une collecte de dons de fin d’année « Une tente pour toit » est en cours. Elle permet d’améliorer les conditions de survie des exilés forcés à dormir dans la rue.

Pour en savoir plus sur UTOPIA 56 cliquez ICI

Pour soutenir UTOPIA 56 cliquez ICI

Nouvelles de la méthanisation

Comme chaque mois, nous relayons la lettre mensuelle du Collectif Citoyens Lotois, membre du CNVMch

En cliquant ICI vous découvrirez cette lettre qui revient sur l’accident du méthaniseur de Châteaulin, qui évoque une « mystérieuse  » livraison dans le Ségala et parle des deux méthaniseurs qui passent devant le juge dans le Cantal et d’un syndicat des eaux alsacien s’opposant à la méthanisation.

Nous vous transmettons également ICI l’invitation à l’assemblée générale de l’association AmiE (Alerte méthanisation industrielle et Environnement) qui se déroulera à Martel le vendredi 17 décembre.

Bourse aux jouets: une initiative réussie !

Les déposants et les visiteurs étaient au rendez-vous ce week-end du 27 et 28 du novembre. Grâce à eux et au dynamisme des bénévoles de l’association, la première édition de notre bourse aux jouets à la salle des fêtes de Gignac a été un succès.

Des jouets, des jeux en veux-tu en voilà !

La formule dépôt-vente s’est avérée un bon choix. Durant toute la journée du samedi, nous avons accueilli les déposants qui pour la plupart sont arrivés chargés de caisses de jouets variés et de belle qualité. Tant et si bien, qu’une dizaine de participants a suffit pour proposer une offre conséquente de jeux, jouets en très bon état. Nous remercions chaleureusement ces personnes pour leur contribution. Ainsi, c’est environ 400 jouets qui ont été préparé le samedi pour être exposés le lendemain à la salle des fêtes.

Une offre à rendre jaloux les lutins du Père Noël !

Le dimanche, après une matinée de préparation dans la bonne humeur, la salle des fêtes de Gignac donnait un avant goût des fêtes de Noël avec ses guirlandes lumineuses, son sapin « durable » en bois de bouleau et ses étalages de jouets. Ceux-ci occupaient la totalité des tables disponibles avec une présentation soignée par tranches d’âge et type de jeux (voir la petite vidéo publiée le jour de la bourse sur ce site pour apprécier l’étendue du choix proposé). Cette manifestation était résolument sous le signe de l’anti-gaspi solidaire car elle permettait d’acquérir des jouets de qualité et en très bon état pour des sommes tout à fait modestes. D’ailleurs, nombre de visiteurs ne s’y sont pas trompés et ont pu remplir leur hotte. Les enfants qui ne croient plus au père Noël se sont aussi laissés tenter, sans oublier les adultes qui se prenaient à rêver en admirant les jouets collector.

L’école avait son stand 

Les écoles de Gignac et de Nadaillac ont participé à l’événement grâce à une collecte de jouets effectuée en amont auprès des familles des enfants scolarisés. La directrice de l’école de Gignac tenait le stand réservé aux écoles et la vente des jouets était au profit de la coopérative scolaire.

Et encore le lundi…

Nous retrouvions nos déposants le lundi en fin de journée pour la restitution des invendus et la remise des gains des ventes. L’occasion de les remercier encore de leur participation et de leur donner rendez-vous à l’année prochaine.

Un bilan très positif pour les bénévoles de l’association qui ont encore gagné en efficacité et en fluidité dans l’organisation de cette deuxième manifestation importante après la Foire aux livres. Cette bourse leur a une nouvelle fois permis de partager de bons moments ensemble.

Un grand merci aux nombreux gignacois qui se sont déplacés pour acheter leurs jouets de Noël. Ceci ne faisant que renforcer notre volonté de proposer de nouvelles activités aux habitants de notre commune.