Rédaction
Troc plantes à Martel ce dimanche 31 octobre
Nous vous encourageons vivement à aller faire un tour à cette sympathique manifestation qui a lieu chaque année le dernier dimanche d’octobre.
Vous pouvez trouver l’affiche en haute qualité sur https://www.martel.fr/manifestations-martel-lot_fr.html.
Un documentaire sur les observatoires astronomiques
Suite à notre soirée « Nuit Etoilée » du 14 août dernier, nous avons reçu une invitation de Mathieu Rouault, journaliste scientifique à « Grand Labo », pour visionner un documentaire – de 14 minutes – consacré aux observatoires astronomiques.
Le lien est ici : https://www.youtube.com/watch?v=A3vPs6k309o
Si ce petit film vous a plu, vous pourrez accéder gratuitement à toutes les autres vidéos de « Grand Labo » en cliquant simplement sur le bouton « S’abonner » (compte Google requis) !
Une chouette journée à la salle des fêtes !
Dimanche 10 octobre nous organisions notre première Foire aux livres d’occasion et aux vieux papiers dans la salle des fêtes de Gignac. Ce fut une belle et chouette journée !
C’était un vrai pari pour notre toute jeune association et ses membres actifs car hormis l’expérience de notre président qui a déjà plusieurs fois organisé ce type de manifestation sur Martel tout était nouveau.
Il s’agissait de notre première manifestation organisée dans la salle des fêtes et également une première pour ce type d’événement sur la commune !
Du travail en plus !
Nous ne vous cacherons pas que cela a nécessité beaucoup de travail en amont, surtout en ce qui concerne la communication de terrain puisque la municipalité nous a refusé tout moyen de publicité via le site municipal ou par le biais d’Intramuros. Nous avons donc posé une centaine d’affiches sur un rayon de 40 kilomètres autour de Gignac et distribué plus d’un millier de flyers sur les marchés de Brive, Martel et Souillac.
Bref de quoi nous occuper mais de nous préoccuper aussi : les vendeurs allaient-t-ils répondre présents ? Les visiteurs se déplaceraient-ils pour cette première qui plus est, avec le frein pour certains du passe sanitaire ?
Autant de questions qui ont perturbé nos nuits avant ce dimanche
Et de la décoration …
Pour autant nous avions également décidé de transformer la salle des fêtes en un espace accueillant. Ainsi après l’installation des tables réalisée le matin nous avons passé l’après-midi du samedi à accrocher des photos d’artiste, des affiches, des planches décoratives, des dessins voire des peintures pour rendre ce lieu au départ si impersonnel en une sorte de grenier où plein de surprises attendaient les visiteurs au détour des stands.
Et des stands nombreux et variés !
Tout l’espace de la salle des fêtes était occupé par les stands qui utilisaient toutes les tables mises à disposition par la municipalité. Nos vendeurs étaient pour certains venus de très loin : de Guéret, de Bergerac mais aussi de tout le département. Le choix des livres, documents et divers supports (gravure, photographie, papiers de reliure…) proposé était très étendu, il nous a juste manqué un stand de BD de collection et pour cause… A 7 h 30 nous étions inquiets de ne pas voir arriver notre vendeur or celui-ci s’était trompé et après 5 h de route, il se trouvait à Gignac dans l’Hérault.
Malgré ce petit souci, il y avait une grande qualité d’ensemble dans ce qui était exposé et proposé à la vente et surtout, il y en avait pour toutes les bourses !
Et les visiteurs ?
Des collectionneurs sont arrivés dès 8 heures et les derniers visiteurs vers 17 h 45 quand nous commencions à remballer.
Les visiteurs ont été nombreux et leur présence a été régulière toute la journée. Enthousiastes, ils ont tenu à nous féliciter pour l’organisation et pour la décoration de la salle qui les emmenait vers un ailleurs qui ne peut se vivre que par et à travers le livre ! Les vendeurs aussi étaient ravis de leur journée et satisfaits de leur chiffre d’affaire. Ils nous ont donné rendez-vous l’année prochaine.
Voilà ce que nous retiendrons de cette chouette journée : une expérience riche en rencontres autour de ce qui nous tient à cœur, la culture.
Et quoi de mieux que de se rassembler pour échanger avec des supports qui deviennent vivants dès que nous les saisissons pour le plus grand plaisir de tous.
Et maintenant ?
Bien évidemment nous referons cette foire l’année prochaine mais en attendant nous vous proposons une autre date importante :
Le week-end du 27 et 28 novembre, nous organisons une bourse aux jouets de Noël sous forme de dépôt vente. Nous reviendrons rapidement vers vous pour plus d’informations.
Retour sur la conférence: Liberté d’expression, la presse en danger ?
Nous avons donc assisté à cette conférence-débat organisée par la Ligue des droits de l’homme (section de Martel) et le comité ATTAC de Souillac, événement que nous avions annoncé précédemment.
Devant plus d’une centaine de personnes à la salle des fêtes de la Raymondie de Martel, les deux journalistes invités nous ont livré des témoignages fournis, frappants et très instructifs. Il était d’autant plus intéressant de les réunir ici que l’un a l’expérience de la presse nationale télévisée tandis que l’autre travaille à l’échelle locale, celle du département. Après deux heures de conférence devant un public attentif, le débat s’est poursuivi entre ce dernier et les journalistes avec pertinence de questions et d’échanges. Il va s’en dire que ce thème de la liberté d’expression nous a fortement interpellé, notre association subissant elle-même une forme de censure.
Pour vous faire partager l’essentiel de cette conférence, nous relayons ci-dessous un compte rendu rédigé par la section de la LDH de Martel:
XXVe rencontre de Martel
9 octobre 2021
Liberté d’expression, la presse en danger ?
Intervenants : Bruno Masure, journaliste, Jean-Claude Bonnemère, rédacteur en chef de la Vie Quercynoise.
Les grandes lignes du sujet à traiter étaient :
-
la liberté des journalistes par rapport au pouvoir politique
-
la liberté des journalistes vis-à-vis du pouvoir économique
-
le rôle d’internet et des réseaux sociaux dans la qualité de l’information
Bruno Masure a fait un rappel de la situation qu’il a vécue des années 70 à la fin des années 90. Durant son séjour à TF1, contrôlée par Bouygues, il lui est arrivé de se faire reprocher certains de ses propos mais il dit avoir toujours gardé sa liberté d’expression. Il lui a été notamment délicat de s’exprimer sur des sujets touchant directement les actionnaires ou les annonceurs de la chaîne. Par contre, un passage de quelques années à RMC lui laisse le souvenir d’une radio à la botte de l’Etat .
Pour ce qui concerne la période actuelle, où Bruno Masure n’est plus actif mais toujours intéressé et informé, il déplore l’influence délétère des chaines d’information surtout celles qui sont des chaînes d’opinion. Il leur reproche vivement, par exemple, la mise en danger des otages de l’hyper cacher du fait de la recherche d’un scoop, ou encore dénonce le rôle extrêmement nocif de Vincent Bolloré, qui a détruit Canal+ et alimente la montée de personnages sulfureux.
En réponse à une question, BM déplore l’actuel « journaliste bashing » (pressions et attaques contre les journalistes venant de la classe politique comme des mouvements sociaux) qui oblige notamment les journalistes à se rendre dans des manifestations ou rassemblements politiques avec des gardes du corps et à utiliser des micros anonymisés.
BM déplore aussi l’autocensure de la presse qui depuis quelques années, cédant à diverses pressions, limite la liberté d’expression des dessinateurs de presse ou les supprime carrément.
Il regrette également l’inefficacité à ses yeux du CSA.
Jean-Claude Bonnemère a fait part de son expérience régionale au sein de la Vie Quercynoise et de son pendant sur internet, Actu-Lot, tous deux dans le groupe Ouest France.
Le budget de ces médias est formé de 1/3 de ventes, 1/3 d’annonces, 1/3 de publicité. Les publicités sont essentiellement locales et la réactivité des annonceurs au contenu des articles est très forte. La Vie Quercynoise a perdu d’importants budgets à la suite de la parution de certains articles.
Ces dernières années la Vie Quercynoise a subi 5 attaques en diffamation. Elle a gagné tous les procès mais bien évidemment le temps qui leur est consacré l’est au détriment de l’activité journalistique. Sans le soutien du groupe Ouest France le média ne pourrait pas faire face à ces attaques. Par ailleurs la Vie Quercynoise est soumise à une forme d’omerta, imposée par le département ou le système judiciaire afin de préserver des intérêts privés ou corporatifs, sorte de censure locale.
Charles Soubeyran conclut la rencontre par une note sur les dessinateurs de presse :
Nos amis dessinateurs de presse, comme Jiho, n’ayant pu être présents, quelques mots sur leur liberté d’expression. Ils ont (et ont été) souvent en première ligne du temps de la censure avec, pour certains comme Siné, des procès à répétition. Mais, ce qui apparaît ces dernières années, c’est leur censure par les organes de presse qui les emploient. Ainsi le New York Times a décidé de ne plus publier de dessins suite à un dessin controversé. Cette année, c’est le Monde qui a présenté des excuses et désavoué son dessinateur (qui avait 15 ans d’activité !) pour un dessin sur l’inceste. Très récemment, c’est la députée LREM du Lot qui a publié un communiqué furibond contre l’exposition sur Gaston Monnerville (raciste, indigne de la nation) en promettant des suites aux organisateurs. Le motif : des caricatures du Canard Enchaîné sur de Gaulle et Monnerville datant des années 60.
Ce qui prouve que si nous ne voulons pas mourir idiot il faut défendre fermement la liberté d’expression de tous, dessinateurs compris.
De nombreuses questions restent ouvertes faute de temps, sur le développement d’une presse alternative indépendante de tous les intérêts financiers, sur la restriction des moyens d’expression des minorités, et sur la montée de la servitude volontaire.
Edicausse, éditeur en Quercy
Nous avons le plaisir de relayer ci-dessous la lettre d’informations de décembre d’EDICAUSSE :
Fort de son patrimoine par ses personnages emblématiques, ses événements de grande importance, ses lieux reconnus dans le monde entier, ses activités qui ont traversé les siècles, le Lot est également riche de ceux dont la discrétion les honore, mais qui ont toujours porté à leur terre de vie, le meilleur, sans oublier un esprit critique, invitant à la réflexion !
Maurice Rouget (1912-2002), originaire du village de Peyrilles, dont le manuscrit inédit nous avait apporté l’année dernière, un nouveau regard sur la courte vie de Léon Gambetta, dans l’ouvrage « Léonie Léon et Gambetta, un étonnant roman d’amour de dix années« , publié pour le 150e anniversaire de la proclamation de la Troisième République, sera, cette année, notre témoin d’un Cahors perdu des années 1920 à 1960.
Encore un nouveau témoignage – qui sera publié en décembre – et, qu’en ma qualité d’éditeur, installé dans le Lot depuis de nombreuses années, je m’efforce avec passion de conserver les traces dans mes publications.
Merci d’avance pour le bon accueil que vous réserverez à cette souscription, laquelle vous permet d’économiser 20 % sur le prix de l’ouvrage !
Gilles Chevriau, auteur-éditeur
A la recherche d’un Cahors perdu : notre prochaine publication
Le Cahors des années 20 à 60 raconté par Maurice Rouget.
Retrouvez également la liste de nos publications 2009-2021 disponibles (vente en ligne sur notre site internet).
© édicausse, éditeur en Quercy — 2021
Nuisances sonores à Gignac : un témoignage
Une de nos adhérentes nous a alertés récemment sur des troubles de voisinage qu’elle subit régulièrement. Nous sommes allés la rencontrer.
Photo d’illustration
Quels sont ces troubles de voisinage dont tu veux nous parler ?
Il s’agit d’aboiements répétitifs de chiens en pleine journée qui m’empêchent de mener la vie normale qu’on est en droit d’attendre à Gignac. Il s’agit bien de nuisances insupportables, pas de chant du coq ou de cloches d’église dont on entend parfois parler dans les journaux et qui sont habituels à la campagne.
Quelles démarches as-tu entreprises ?
Je suis tout d’abord allée voir mes voisins qui possèdent ces chiens pour essayer de nous arranger à l’amiable. Je leur ai proposé qu’ils leur mettent des colliers anti-aboiements ou bien qu’ils aillent voir un comportementaliste pour animaux, puisqu’il y a d’autres chiens dans le voisinage qui se tiennent parfaitement tranquilles même quand leur maître est absent.
Qu’est-ce que cette démarche de conciliation a donné ?
Rien du tout, absolument rien.
Et donc qu’as-tu fait ensuite ?
Je leur ai envoyé des courriers recommandés avec avis de réception en leur précisant que c’était devenu invivable pour moi et pour les personnes que je reçois et en leur demandant d’agir au plus vite.
Et cette fois-ci, ça a marché ?
Pas davantage.
J’ai alors téléphoné à 2 adjoints à la mairie, je leur ai laissé un message, mais aucun ne m’a rappelé.
Devant ça, j’ai effectué un dépôt de plainte à la gendarmerie, plainte qui a été enregistrée par le procureur de la république, et j’en ai envoyé une copie à la préfecture et à la mairie de Gignac.
Madame la Maire est finalement venue me voir le 26 août. Je lui ai exposé précisément la situation et je lui ai rappelé ses pouvoirs de police. Elle m’a dit qu’elle me rappellerait pour me faire un retour, mais elle ne m’a jamais recontactée.
Quelle est la situation aujourd’hui ?
J’ajoute qu’une vacancière qui était chez moi a envoyé une lettre pour se plaindre elle aussi parce que ses vacances ont été gâchées par ces nuisances. J’ai envoyé une copie de ce courrier à la gendarmerie, au procureur et à la préfecture.
Je ne sais pas si c’est à cause de ça, mais il y a eu une accalmie ces derniers temps. Mais je crains qu’elle ne soit de courte durée.
Pourquoi ?
Parce que quand je suis retournée voir les propriétaires des chiens en question pour essayer de « faire la paix », je me suis fait copieusement insulter et j’ai ensuite reçu des appels téléphoniques malveillants jusque dans la nuit. D’ailleurs, j’ai rappelé la gendarmerie.
Et ce n’est pas tout !
C’est-à-dire ?
C’est-à-dire qu’il y a quelques jours, j’ai eu des saccages sur ma maison : j’ai dû faire changer les serrures qui étaient remplies d’une sorte de goudron ; je ne peux pas m’empêcher de faire un lien.
Dans quel état d’esprit es-tu aujourd’hui ?
Je suis au bout du rouleau. D’ailleurs je dois rencontrer l’inspecteur du travail prochainement car je suis à 2 doigts de demander un arrêt maladie.
Je suis scandalisée parce que la mairie ne fait rien pour protéger sa population et rien contre ces délinquants alors que la loi lui donne les pouvoirs de police nécessaires. Quand on demande du secours, ils ne sont pas là.
Cela fait près de 50 ans que j’habite à Gignac, et franchement je n’ai même plus envie de rester ici.
Interview réalisée le 20 septembre.
Cette problématique des nuisances dues aux aboiements de chiens est largement documentée dans les magazines spécialisés comme « La gazette des communes », « La vie communale » ou même la DRASSE.
En voici un exemple :
JO AN – JO SÉNAT
26.06.2019
Chiens. Nuisances. Pouvoirs du maire
Aux termes de l’article R 1334-31 du code de la santé publique : « aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé, qu’une personne en soit elle-même à l’origine ou que ce soit par l’intermédiaire d’une personne, d’une chose dont elle a la garde ou d’un animal placé sous sa responsabilité ». Les articles R 1337-6 et suivants du même code prévoient ainsi plusieurs incriminations destinées à lutter contre les bruits de voisinage, que le maire peut constater en sa qualité d’officier de police judiciaire.
En outre, les articles L 211-11 et suivants du code rural et de la pêche maritime prévoient les cas dans lesquels le maire peut intervenir face à des animaux susceptibles, compte tenu des modalités de leur garde, de présenter un danger pour les personnes. En fonction des circonstances, le maire peut ainsi prescrire au propriétaire de l’animal de prendre les mesures de nature à prévenir le danger, placer l’animal dans un lieu de dépôt adapté ou, dans les cas les plus graves, faire procéder à son euthanasie.c
Enfin, en application de l’article L 2212-2 du CGCT, il appartient au maire de prendre les mesures nécessaires pour faire cesser les troubles à l’ordre public, et notamment à la tranquillité et à la sécurité publiques. Ces mesures, qui doivent être proportionnées à leur nécessité et qui ne sauraient présenter de caractère général et absolu, pourraient par exemple prendre la forme de prescriptions imposées aux propriétaires de chiens afin que leurs aboiements répétés ne soient pas générateurs de troubles à la tranquillité publique. Ces pouvoirs de police dont dispose le maire, fondés sur la dangerosité des animaux ou les troubles à l’ordre public qu’ils sont susceptibles d’occasionner, s’exercent indépendamment du nombre de chiens détenus et de la réglementation relative aux installations classées pour la protection de l’environnement applicable aux détenteurs de plus de 9 chiens (JO Sénat, 23.05.2019, question n° 09126, p. 2744).
Samedi 9 octobre, conférence sur la liberté d’expression dans la presse
Samedi 9 octobre, la Ligue des Droits de l’Homme (section de Martel) et l’association ATTAC (comité de Souillac) organisent une conférence-débat sur le thème de la liberté de la presse, sujet actuel s’il en est.
Le journaliste Bruno Masure (ex présentateur du journal de 20 heures de TF1, puis de France 2) sera présent en « guest star ».
Un week-end chargé !
Après les propositions musicales du « chant des chênes » pour samedi soir, nous venons d’apprendre que se tiendra ce samedi matin un conseil municipal avec l’ordre du jour suivant :
REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL (dans la salle du conseil)
Le samedi 02 octobre 2021 à 10h30
ORDRE DU JOUR :
1-Lotissement Clou del Pech :
1.1- Délibération n°1 :
Présentation et vote du budget primitif 2021 du lotissement « Clou del Pech » (Arrêté accordant le permis d’aménager en date du 23/09/2021) ;
1.2- Délibération n°2 :
Lotissement « Clou del Pech » – Validation du prix des lots – lot n°1 : 25 000€, lot n°2 : 23 500€, lot n°3 : 22 000€, lot n°4 : 25 000€, lot n°5 : 30 000€ ;
2-Délibération n°3 : Acquisition du terrain cadastré section A n°1262, sis rue du Puits Bournaguet, d’une superficie de 955 m² ;
Délibération n°4 : Décision modificative correspondante ;
3-Délibération n°5 : Rénovation énergétique du bâtiment ECOLE/CANTINE et des 3 logements situés à l’étage – Validation du devis relatif aux travaux d’isolation sur la partie salle de motricité, anciens bureaux et cage d’escalier ;
4-Délibération n°6 : Inscription au Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnée (PDIPR) de chemins ruraux traversant le territoire de la commune – Actualisation ;
5-Divers.
Pour information, nous vous mettons ici la partie de cadastre concernée par la délibération n°3 :
Un week-end musical
Voici un nouveau rendez-vous musical en Corrèze pour samedi prochain : à partir de 19 heures dans la salle des fêtes de Meyssac se tiendra le festival « Meyssac’Art On ».
Ce festival de musiques électroniques est organisé par la jeune association lotoise domiciliée à Creysse « Le chant des chênes » qui nous avait proposé une journée musicale à Montvalent cet été. Vous y retrouverez 5 groupes à partir de 19 heures dans l’ordre suivant :
- Big Hoddies: musique électro.
- Swan Dub : « du gros son » ; extrait sur Sound Clock : https://soundcloud.app.goo.gl/YnU4x
- MXS: à écouter d’urgence sur scène.
- Roland cristal: le bon le vieux synthétiseur de base mais aussi du côté de Charlemagne et des ménestrels percussionnistes
- Et pour finir, une petite promenade en forêt à la recherche de champignons magiques avec Spylo.
Le prix d’entrée est fixé à 5 euros et vous trouverez sur place buvette et snack.
Pour plus d’infos : https://www.facebook.com/lechantdeschenes/