Ce sera la 3ème édition et les manifestations s’échelonneront du 26 juin au 3 juillet.
Nous étions à la 1ère édition et en avons gardé un excellent souvenir, ne manquez donc pas celle-ci !
Davantage d’infos sur le site de Causse Loisirs Culture
Ce sera la 3ème édition et les manifestations s’échelonneront du 26 juin au 3 juillet.
Nous étions à la 1ère édition et en avons gardé un excellent souvenir, ne manquez donc pas celle-ci !
Davantage d’infos sur le site de Causse Loisirs Culture
« Falaise » de la compagnie Baro d’Evel est la suite de « Là » qui est passé cette semaine à Tulle, mais les 2 parties peuvent se voir indépendamment l’une de l’autre.
Les avis – que nous avons recueillis – de ceux qui l’ont vu sont unanimes : c’est un spectacle exceptionnel.
C’est au théâtre de Brive et il y aura 3 représentations :
– jeudi 24 à 20h30
– vendredi 25 à 19h00
– samedi 26 à 20h30
Avis de la presse :
« L’humain résistera-t-il à sa chute ? Dans une valse métaphorique, des interprètes hors normes (dont un cheval) défient la catastrophe annoncée. » TELERAMA – 07 mars 2020 – Emmanuelle Bouchez
« Dans les interstices d’un monde en ruine
On a envie de dire : « Putain que c’est beau ! Pourvu que le monde entier voie ce chef-d’œuvre car il touche à l’universel ! » LES TROIS COUPS – 04 février 2020 – Léna Martinelli
Et critique détaillée ici sur le site de sceneweb.
Extrait : « Ponctuée de moments de fulgurances où la petite communauté se livre à son étonnante manière à toutes sortes de cérémonies – on reconnaît, dans le délire ambiant, les signes d’un mariage, d’un enterrement, d’une naissance ou encore d’une révolte –, la pièce fait le récit d’une transformation. Avec son vocabulaire hybride, elle dit les tentatives d’un groupe d’échapper à la noirceur qui l’entoure. »
Pour réserver, c’est ici sur le site de l’Empreinte.
La mairie de Gignac communique :
En raison de la situation sanitaire actuelle, les membres du Conseil municipal sont convoqués à la salle des fêtes de Gignac :
Le mercredi 16 juin 2021 à 20h30.
Gignac, le 11/06/2021
Le Maire, Solange OURCIVAL
ORDRE DU JOUR :
Le dernier conseil municipal s’est tenu à la salle des fêtes le jeudi 27 mai à 20h30 toujours sans public mais en visioconférence cette fois-ci. À l’ordre du jour il y avait plusieurs projets importants qui vont conditionner les prochaines années de notre commune tant par leur coût que par l’impact qu’ils auront sur le développement de celle-ci.
Nous avons donc regardé et écouté avec attention les décisions qui ont été actées lors de ce conseil et nous complèterons le PV par plusieurs éléments présentés mais qui n’ont pas été inscrits dans le procès-verbal et par les réflexions que nous amènent ces délibérations.
Délibération n°1 : Acquisition par voie de préemption d’un bien situé en centre bourg appartenant à Madame BASTIT Valérie.
Ce projet d’achat d’un bien immobilier présenté par Madame la Maire s’est fait un peu dans l’urgence du fait même du calendrier et du très court laps de temps entre l’annonce de cette vente à venir par Me Blavignac et le délai pour la prise d’une décision de préemption de ce bien.
En amont de la prise de décision, notre maire a pris soin de rappeler les actes pris en conseil communautaire et en conseil municipal encadrant la préemption d’un bien. Pour être au plus près de ces délibérations, nous vous les rapportons ci-dessous et vous pourrez trouver en annexe à cet article, l’intégralité des deux conseils traitant de cette question.
Conseil communautaire du 7 janvier 2017 :
Point 39 : Instauration Droit de Préemption Urbain sur le territoire communautaire – Délégation au Président
M. le Président rappelle que, conformément aux dispositions du code de l’urbanisme, l’EPCI compétent en matière d’urbanisme l’est automatiquement pour le droit de préemption urbain.Ce droit permet aux collectivités de mener à bien les politiques foncières dans le cadre de leurs compétences. Le DPU peut être délégué au Président de l’EPCI, qui lui-même a la possibilité de le subdéléguer aux communes pour leur permettre de mener à bien des projets spécifiques.
En ce qui concerne les communes dotées d’une carte communale, le DPU ne s’applique pas sur un zonage mais uniquement sur les parcelles concernées par un projet prédéterminé.
– DE DIRE qu’un registre dans lequel seront inscrites toutes les acquisitions réalisées par exercice du droit de préemption et des précisions sur l’utilisation effective des biens acquis, sera ouvert et consultable au siège de la communauté de communes aux jours et heures habituels d’ouverture.
– DE DIRE que la présente délibération sera annexée aux documents d’urbanisme des communes du territoire.
Conseil municipal du 23 mai 2020 :
3- Délégation du conseil municipal au maire :
10 – Exercer, au nom de la commune, les droits de préemption définis par le code de l’urbanisme, que la commune en soit titulaire ou délégataire, déléguer l’exercice de ces droits à l’occasion de l’aliénation d’un bien selon les dispositions prévues au premier alinéa de l’article L. 213-3 de ce même code dans les conditions que fixe le conseil municipal
Suite à ces rappels Madame la Maire explique les raisons de cette préemption : « Considérant que cette importante habitation permettrait la réalisation du projet envisagé par la municipalité à savoir, la rénovation et la création de logements communaux destinés à la location ainsi que la création de jardins partagés, »
Et c’est bien sur ce sujet que portent nos interrogations : la façon de gérer ce que nos édiles nomment la réserve foncière de la commune varie en fonction des conseils.
Lors d’un précédent conseil, un bien est vendu à une personne installée de longue date dans la commune ; pendant un autre conseil une gignacoise se proposant d’acheter le logement communal qu’elle loue est déboutée. Et voilà que la commune se porte acquéreur de la maison Bastit et de son terrain pour en faire des logements à louer alors que la personne qui devait acheter ce bien à Valérie Bastit avait le même projet. Cet argument a été mis en avant par l’un des conseillers ayant voté contre ce projet !
N’aurait-il pas été plus simple de laisser M. Galarza acheter cette maison pour en faire des logements, ce qui à coup sûr aurait amené de nouveaux habitants, plutôt que de faire un nouvel emprunt pour cette acquisition ? Emprunt qui ne devrait pas alourdir l’endettement de la commune (voir délibération n°2) mais qui ne l’allège pas non plus sans présager du financement des travaux de rénovation. Ceux-ci feront l’objet de subventions mais l’exemple récent de la rénovation énergétique de l’ancienne mairie tend à nous prouver que cette opération ne se fera pas à coût zéro.
Ce projet était-il primordial pour la commune ?
Voilà la question que nous pouvons nous poser. Aux dires d’autres conseillers présents, il s’agit d’une bonne affaire eu égard au prix de ce bien (mais hors travaux !), mais la commune a-t-elle pour vocation de devenir propriétaire des biens à vendre dans le bourg, et en poussant un peu le bouchon, pourquoi ne pas se porter acquéreur d’autres biens dans les hameaux ?
Quoiqu’il en soit cela a un coût et doit faire partie d’un projet identifiable par les habitants.
Dernière remarque au sujet de cette préemption : le devenir du terrain lié au sort de cette maison :
Madame la Maire nous explique que ce terrain servira à la création de jardins partagés. C’est clair et cela lève les interrogations qui ont circulé depuis que cet achat a été connu, surtout quant à sa situation géographique à proximité de l’ancien multiple rural bientôt racheté par la commune.
Ceci étant, une intervention d’une des conseillères présentes nous a un peu rendus perplexe puisqu’elle explique que l’achat seul de ce terrain n’étant pas possible (toujours pour y faire des jardins partagés ?), la municipalité s’est portée vers le choix d’un achat global maison + terrain.
Cette création reprendra-t-elle le projet porté à la connaissance de l’ancienne équipe municipale peu de temps avant les élections par quelques gignacois ? Ce projet avait reçu un bon accueil du conseil et les choses semblaient pouvoir se concrétiser rapidement, mais depuis les élections nous n’avons plus de nouvelles sur son avancement. Ce pourrait être une bonne façon de relancer l’intérêt de nos concitoyens pour la chose publique !
Délibération n°2 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires relatifs à l’inscription de l’acquisition en dépense et recette au budget.
Le montant de l’acquisition et des frais notariés s’élève à environ 77 000€. Cette dépense sera inscrite au budget de la commune et sera financée par un emprunt de 77 000€.
À noter que l’endettement de la commune reste stable compte tenu de l’effacement de deux annuités d’emprunt (une en 2020 et une en 2021 pour un montant total de 15 400€)
Décision modificative n°1/2021
Madame la Maire expose au Conseil municipal que les crédits ouverts aux articles ci-après du budget de l’exercice 2021, ayant été insuffisants, il est nécessaire de voter des crédits supplémentaires et/ou de procéder aux réajustements des comptes et d’approuver les décisions modificatives suivantes.
Cette modification s’explique comme nous l’avons dit plus haut par la nécessité d’une réponse rapide et par le fait que cet achat n’était pas prévu dans le budget initial 2021… d’où l’obligation de cette décision supplémentaire.
Délibération n°3 : Rénovation énergétique du bâtiment ECOLE/CANTINE et des 3 logements situés à l’étage – Validation des devis relatifs à l’installation de la chaufferie biomasse et à la réalisation d’une tranchée destinée à l’alimentation en chauffage de la cantine – Validation du devis relatif au renfort et à la mise en sécurité des linteaux de fenêtres du rez-de-chaussée.
L’installation de la chaudière à biomasse.
Après que Madame la Maire nous ait expliqué que le seuil de mise en concurrence obligatoire des marchés publics a été relevé jusqu’au 31/12/2022 à 100 000 €, nous pensions que la rénovation énergétique du bâtiment ancienne mairie /cantine entrait dans cette problématique eu égard à son coût global et que nous allions voir comment fonctionnent ces marchés publics.
Que nenni, le projet se voit réparti en 4 lots correspondant de fait aux 4 corps de métiers intervenant dans sa réalisation, et du coup exit la mise en concurrence obligatoire, le choix se faisant à partir de devis demandés par la municipalité.
Ainsi, pour le poste le plus coûteux, à savoir l’installation de la chaudière, le choix s’est porté sur le devis de Lot Energie, devis qui avait déjà été présenté lors des différents conseils actant cette rénovation. Madame la Maire nous expliquant que deux autres entreprises ont été contactées : la société Picoulet qui n’a pas souhaité donner suite et la société Delcambre qui n’a pas répondu. Peut-être aurait-il fallu contacter d’autres entreprises afin de situer le devis de Lot Energie dans le marché ? Car là, les conseillers n’ont eu qu’un choix particulièrement restreint…
Mais évidemment il est plus facile de se poser la question devant son clavier que face à la réalité des entreprises de notre territoire.
Concrètement, cette entreprise qui a installé les poêles à granulés dans les logements locatifs de la commune aurait un créneau courant juillet pour réaliser les travaux sur le temps des vacances scolaires.
Pour les autres postes du projet :
— isolation de la chaufferie, là aussi un seul devis celui de l’entreprise Mas
— pour la tranchée de raccordement de la cantine au chauffage, deux devis ont été présentés et celui retenu fut celui du moins disant à savoir Corrèze BTP mis en concurrence avec la société Delpech.
— le renfort des linteaux des ouvertures de l’école sera quant à lui confié à l’entreprise Delpech qui a déjà réalisé une première tranche de ces travaux.
4-Divers
4.1- Adressage : compte-rendu de la réunion du 27/05/2021 avec le SDAIL
Si vous êtes un lecteur assidu de nos articles (pour les autres vous la trouverez sur notre site avec le mot clé « Baladou »), nous avons expliqué la méthode employée dans la commune de Baladou où les habitants ont été régulièrement consultés pour ce travail et ont également participé à la dénomination des voies lors de réunions publiques et un cahier de doléances à ce sujet avait été installé en mairie.
Pourquoi cette remarque ? Elle répond aux préoccupations de Didier Faurel qui présentait ce sujet et qui expliquait qu’il y allait avoir beaucoup de travail avec une copie à rendre pour cet automne. Cette méthode ne pourrait-elle pas faire gagner du temps et de l’énergie à tous ?
Quand le travail de dénomination des voies sera terminé, la SDAIL devra envoyer le nom des voies à l’IGN et il nous faudra ensuite nous rendre en mairie pour effectuer notre changement d’adresse comme si nous avions déménagé.
Restera encore un long travail d’installation des poteaux et des plaques le long des voies, et la municipalité dans un souci d’économie devrait le réaliser avec les employés communaux et les conseillers (avec l’aide des gignacois ?).
4.2- Rachat du café commerce par la collectivité : accompagnement des élus par l’ADEFPAT (acteur projets territoires ruraux) pour la réussite du projet envisageable pour l’exploitation de ce lieu – compte rendu de la réunion du 25/05/2021
La municipalité a fait le choix d’un accompagnement par l’ADEFPAT (association de développement des pays aveyronnais et tarnais) afin de déterminer les besoins et de définir le projet communal relatif au rachat de l’ancien multiple rural.
Nous ne pouvons que nous féliciter de ce choix qui par exemple a permis il y a maintenant de nombreuses années l’émergence du projet associatif Ecaussystème.
Si le C.A. de l’ADEFPAT choisit d’accompagner ce projet, pourquoi ne pas ouvrir ce temps de formation et d’échanges à d’autres personnes que les membres du conseil municipal ?
Ce serait une vraie chance pour notre territoire de voir se développer les projets associatifs ou entrepreneurials.
4.3- Compte-rendu de la réunion « Cœur de Village » : un scoop !
Didier Faurel a fait le compte rendu de la réunion qui s’est tenue à Cauvaldor, réunion ayant pour sujet l’opération « Cœur de village ». Gignac ayant été une des premières communes de notre territoire à travailler sur ce projet, nous serons parmi les premiers à voir ce projet débuter.
Le budget des travaux en question est un des plus important de cette opération avec celui de Miers, pourquoi ? Parce que nous avons eu confirmation du rapporteur que la reconstruction d’une halle sur la place de l’église était bien dans les tuyaux.
Ceci étant, Benoît Chastanet a tenu à préciser que les habitants seront associés à chaque étape et pour le choix des travaux lors de réunion(s) publique(s) quand cela sera possible, en commençant par les riverains…
Autre point non renseigné dans le PV :
Les conseillers ont acté la refonte du système téléphonique de la mairie passant à un système numérique après abandon des abonnements France Télécom et ont approuvé à l’unanimité le devis de la société Faurie Télécom et Sécurité pour un montant de 3800 €.
Annexes :
PV du Conseil communautaire du 7 janvier 2017
A l’initiative de la députée LREM Huguette Tiegna, le chef de l’Etat sera en déplacement dans notre département ces 2 et 3 juin.
Selon Actu-Lot, le programme du jeudi 3 est le suivant :
– 10 h 15 : arrivée du Président de la République à Martel et échanges avec des habitants, à la salle des fêtes de Martel.
– 12 h 30 : déjeuner avec les habitants de Martel ayant participé aux échanges.
– 14 h : visite du village de Martel.
À l’issue, départ du Président de la République pour Cahors.
Nous ne savons pas dans quelle mesure il sera possible d’approcher le chef de l’Etat, mais nous notons que dans le même temps, le président du Sénat, Gérard Larcher, sera lui aussi dans notre département à l’invitation du député LR Aurélien Pradié.
Les 2 députés lotois étant candidats aux prochaines élections, il est clair que les grandes manœuvres électorales ont commencé.
Pour la représentation du vendredi 4 juin à 19h00
au Théâtre de la Grange à Brive
La pièce : Le transi des jours de Chloé Bressan (spectacle gratuit)
Réservation théâtre : 05 55 86 97 99
Contact pour covoiturer depuis Gignac : 06-74-20-89-73
L’ordre du jour du nouveau conseil municipal vient d’être publié sur le site de la mairie. Nous vous le postons ci-dessous de façon à lui assurer la plus vaste diffusion car plusieurs points sont importants pour l’avenir de notre commune.
Pourquoi c’est important ?
Parce que cela va impacter la vie sociale du bourg mais aussi le budget municipal, non pas seulement sur une année, mais sur une période qui risque de s’allonger au fur et à mesure des décisions qui vont être actées par les conseillers.
Nous insistons depuis de nombreux mois sur la nécessité de présenter et partager les projets municipaux notamment en ce qui concerne le rachat de l’ancien multiple rural. Mais toujours rien à l’horizon alors qu’il est écrit dans le dernier « Gignac infos » qu’“une concertation des habitants sera organisée”. Donc nous l’attendons avec impatience mais pourquoi ne penser cette concertation qu’à partir de ce que nous proposera l’équipe municipale ? Les gignacois ont peut-être eux aussi des idées à faire valoir ou au moins des désidératas au sujet de ce que devrait être le prochain commerce du village afin qu’il soit en adéquation avec ce que nos concitoyens attendent.
Et qu’en est-il de la préemption annoncée de la maison “Bastit” en centre bourg ? C’est la première fois que ce sujet apparaît à l’ordre du jour du conseil : pourquoi cette urgence à décision ? Cette maison n’est pas en vente depuis hier et son terrain à la sortie du bourg non plus ? Là encore il est important que nous sachions quels sont les projets municipaux en la matière ! Même chose pour l’opération « cœur de village » !
Le retour de la visioconférence !
Au moins nous pourrons prendre connaissance des décisions des conseillers car ce conseil se fera en visioconférence, ce qui ne fut pas le cas lors du précédent.
Et le retour du public ?
Nous pensons néanmoins que ce conseil aurait pu se faire avec du public puisque depuis le 19 mai les salles des fêtes sont officiellement ouvertes dans les conditions que vous pouvez retrouver dans un de nos précédents articles : Salles des fêtes, salles polyvalentes, chapiteaux : Chaque établissement ne peut pas recevoir plus de 35% de sa capacité d’accueil maximale et chaque salle est plafonnée à 800 spectateurs.
Il suffisait également pour rendre le retour du public possible lors de ce conseil d’en avancer l’heure afin que chacun soit rentré chez lui avant les 21 heures du couvre-feu.
Réunion du Conseil municipalEn raison de la situation sanitaire actuelle, les membres du Conseil municipal sont convoqués à la salle des fêtes de Gignac : Le jeudi 27 mai 2021 à 20h30 Gignac, le 21/05/2021 Le Maire, Solange OURCIVAL La séance sera retransmise en visioconférence.ORDRE DU JOUR : 1-Délibération n°1 : Acquisition par voie de préemption d’un bien situé en centre bourg appartenant à Madame BASTIT Valérie, Délibération n°2 : Décision modificative – inscription de l’acquisition en dépense et recette au budget ; 2-Délibération n°3 : Rénovation énergétique du bâtiment ECOLE/CANTINE et des 3 logements situés à l’étage – Validation des devis relatifs à l’installation de la chaufferie biomasse et à la réalisation d’une tranchée destinée à l’alimentation en chauffage de la cantine – Validation du devis relatif au renfort et à la mise en sécurité des linteaux de fenêtres du rez de chaussée ; 3-Délibération n°4 : Budget principal – Vote de crédits supplémentaires sur l’article 66111 intérêts réglés à l’échéance (Décision modificative) ; 4-Divers : 4.1- Adressage : compte-rendu de la réunion du 27/05/2021 avec le SDAIL, 4.2- Rachat du café commerce par la collectivité : accompagnement des élus par l’ADEFPAT (acteur projets territoires ruraux) pour la réussite du projet envisageable pour l’exploitation de ce lieu – compte rendu de la réunion du 25/05/2021, 4.3- Compte-rendu de la réunion « Cœur de Village », 4.4- Informations diverses. |
Ce bref article renvoie au texte publié sur le site Internet de notre commune, article intitulé : La commune achète le café/commerce.
Nous avons attendu quelques jours pour réagir à cet article afin de ne pas être dans la réaction immédiate. Ceci étant, cet article met en scène, ou plutôt en mots, un choix de la nouvelle équipe municipale qui était incontournable pour l’avenir du bourg.
Incontournable car les années qui ont suivi l’achat de l’ancien multiple rural par un « privé » ont montré de façon circonstanciée l’erreur d’un tel projet dans le contexte gignacois mais surtout l’erreur de cette vente d’un bien public.
Erreur économique car si la faillite de ce commerce vient de la non tenue du festival en 2020 comme il est écrit dans l’article municipal, cela montre qu’un tel projet n’était pas ancré dans le quotidien de la commune et ne pouvait pas être viable puisqu’ayant une survie basée sur la tenue d’un évènement de 3 jours relativement à un bilan financier annuel ! Pour rappel, au moment même de la création d’Ecaussystème, il y avait encore deux commerces qui fonctionnaient à l’année dans la commune et qui ont continué à le faire pendant plusieurs années : une boulangerie liée à un multiple rural qui plus est doublée d’une tournée mécanisée qui passait par tous les hameaux de la commune, ainsi qu’un bar-tabac-presse.
Erreur quant à l’importance de ce bien dans la vie sociale de la commune. Il était dans la logique des choses que la municipalité effectue le rachat de ce commerce afin de pouvoir faire revivre un lieu pour de nouvelles interactions sociales entre gignacois. Car il s’agit bien d’un rachat et nous tenons à ce terme comme une réappropriation d’un lieu public mais aussi rachat qui a un coût pour nos finances.
Reste à savoir ce que nous répétons depuis que ce projet est à l’ordre du jour des conseils municipaux : un rachat pour quoi faire ? La municipalité nous indique qu’elle a pensé à plusieurs projets mais sans nous dire lesquels : peut-être serait-il opportun de réunir dès maintenant tous les gignacois intéressés et d’écouter leurs propositions ?
Vous trouverez, en cliquant ICI, tous les détails du plan de réouverture annoncé par Jean Castex dans le journal « Le Parisien » lundi soir.
Les différentes étapes du futur déconfinement annoncées par le Président de la République dans la presse régionale le 29 avril ont enfin leurs déclinaisons point par point et date par date pour tout ce qui était fermé jusqu’à présent.
Le document que nous vous donnons à lire se veut le plus exhaustif possible et vous permettra, lieu par lieu, d’avoir une connaissance précise des activités possibles dans le calendrier défini par le plan de réouverture en 3 étapes : 19 mai, 9 juin et 30 juin.
Il y est question non seulement des conditions de réouverture des commerces dits « non essentiels » comme les bars, restaurants, magasins divers, mais il traite également des étapes de réouverture de tous les lieux culturels : cinéma, théâtre, salle de spectacle, bibliothèque, musée, etc.
Ce document aborde donc, et précise, ce que devrait être l’avenir social et culturel de notre commune à travers les différentes jauges de public autorisées dans la médiathèque, la salle des fêtes, lors des manifestations religieuses ou publiques en intérieur et à l’extérieur y compris pour les festivals de cet été.
Une centaine de lotois s’étaient donnés rendez-vous dimanche 9 mai devant le méthaniseur de Gramat pour la « Marche d’après ». Marche « macabre » mais aussi pleine d’espoir pour la mise en place d’une vraie loi Climat à la hauteur de l’urgence climatique et sociale.
À l’appel de plusieurs organisations (La Confédération Paysanne du Lot, le Collectif National Vigilance Méthanisation (CNVM-ch), Vigilance OGM 46, et le Groupement d’Alerte et de Défense de l’Environnement du Lot (GADEL)), une centaine de lotois avaient répondu présents à cette invitation à venir semer et planter les graines d’un avenir prenant enfin en compte les nécessités de l’urgence climatique mais aussi sociale devant les portes du méthaniseur de Gramat.
Ce symbole, encore pointé du doigt la semaine dernière par la Préfecture pour manquement à ses obligations de sécurité, allait être le lieu d’un enterrement tout symbolique de la Loi « Climat et résilience » dont les débats viennent de prendre fin à l’Assemblée Nationale.
Enterrement double car le cercueil porté par des représentants des organisations présentes marquait le glas des espérances portées par la convention citoyenne pour le climat (dont un des participants était présent) mais aussi la fin à venir de toutes les activités culturelles « non essentielles » de notre territoire si les mesures de restrictions ne permettent pas une reprise rapide de celles-ci.
L’ambiance était bon enfant mais revendicatrice : les banderoles étaient ressorties des placards du confinement, et malgré le cortège funèbre, les présents communiquaient ensemble avec l’ardeur de ceux qui ont été pendant longtemps privés de lien social, essentiel lui aussi.
Dans la bouche de tous était présente la loi présentée par le gouvernement, loi longtemps attendue mais qui laisse les participants à ce rassemblement sur leur faim parce qu’elle n’est pas à la hauteur de la catastrophe annoncée ni même des attendus, pourtant bien restreints, de la COP 21.
Preuve en est l’intervention de M. Bompart membre de la convention citoyenne pour le climat qui a tenu à rappeler que sur les 149 propositions posées sur le bureau de notre Président seules 15 de celles-ci ont été intégrées à la nouvelle loi !
D’où la nécessité d’un autre projet porté par cette « marche d’après ».
Les nombreuses prises de parole ont permis à tous ceux qui le souhaitaient d’expliquer et d’argumenter ce que pourrait devenir ce projet global comme une vraie loi relevant de l’urgence climatique mais aussi sociale.
Pour aller plus loin, vous trouverez ici sur le site Internet « reporterre » les 149 propositions de la convention climat et ce qu’il en reste dans le projet gouvernemental tel qu’il a été présenté aux députés.