Notre compte-rendu de la réunion du conseil municipal du 11 mai 2023

A 20h30, il n’y a que 6 conseillers présents et la séance démarre à 20h40 une fois le quorum atteint.

1-Délibération n°1 : Bail commercial du café-commerce

Madame la maire indique qu’il est nécessaire de voter cette délibération afin de débloquer le processus d’ouverture pour les repreneurs.

Les gérants seront Frantz Martinet et Marion Régis et l’établissement s’appellera « Le Repère gourmand ».

Un bail pour 9 ans est établi à compter du 1Er juin. Le loyer consenti sera de 300€ HT par mois pour la 1ère année, 350 pour la 2ème année et  400 pour les années suivantes. Ce bail sera révisable après 3 ans selon les indices officiels.

La délibération est adoptée à l’unanimité des présents.

2-Délibération n°2 : Bail location Licence IV

La licence IV est et reste la propriété de la commune.

Elle sera louée à l’établissement pour 50€ HT par mois et sera renouvelable chaque année.

La délibération est adoptée à l’unanimité des présents.

3-Délibération n°3 : Réhabilitation, rénovation énergétique de la maison en centre Bourg, Place Saint Martin : transformation en 2 logements – Demande de subvention au titre du Fonds Vert pour la rénovation énergétique des bâtiments publics locaux ;

Cette demande de subventions « Fonds Vert » est faite suite aux conseils donnés par le département.

On notera qu’aucun conseiller ne demande à combien ces subventions pourront se monter.

La délibération est adoptée à l’unanimité des présents.

4-Divers

  • Elections sénatoriales du 24 septembre : Gignac devra élire 3 délégués le 9 juin.  Cette élection se fera à bulletins secrets.
  • Bâches à incendie : il a été obtenu 50% au titre du fonds vert au lieu de 35% au titre de la DETR. Avec le FAST, la subvention se monte à 70%.
  • Benoit Chastanet précise que « grâce à nos compétences, on a toujours obtenu le maximum des subventions possibles, c’est de l’argent public que le contribuable gignacois ne financera pas et j’espère que les médias locaux s’en feront l’écho ». Comme nous nous sommes sentis visés (!), nous relayons bien volontiers et nous précisons que nous n’avons jamais critiqué cette manière de faire ; nous faisons juste remarquer que l’argent public n’est pas de l’argent magique, et que quel que soit son cheminement, il provient toujours des contribuables.
  • Cœur de village : l’opération est financée à hauteur de 80%, donc au maximum de ce qui est possible ; Plusieurs élus indiquent avoir eu d’excellents retours de la part de la population comme quoi « c’était beau et bien posé ». Là aussi nous n’avons jamais dit le contraire mais juste posé de grosses réserves sur le processus démocratique qui a conduit à cette opération (pourquoi celle-là et pas une autre) et aussi sur sa finalité. Il s’avère qu’il y a eu quelques dégradations lors de la pose des candélabres sur le parking mais que ce sera repris. Quant aux traverses séparatives du parking, elles seront enlevées car sinon les manœuvres pour les voitures seraient difficiles.
  • Au niveau du Rionet : Une réflexion est en cours – avec un consultant – pour voir comment ils peuvent résorber leur déficit structurel.
  • Plusieurs conseillers signalent que quelques routes ne sont pas enregistrées au niveau de Cauvaldor et que tant que ce sera le cas, elles ne seront pas refaites.
  • La commission travaux devrait se réunir pour faire une synthèse des différents devis concernant le chauffage de la salle des fêtes.
  • Benoit Chastanet demande que les commissions se réunissent régulièrement afin de faire gagner du temps lors des réunions des conseils municipaux. Pour autant, nous constatons qu’à aucun des conseils où nous sommes allés (c’est-à-dire presque tous), nulle commission n’a jamais rendu compte de ses travaux internes.
  • Benoit Chastanet précise qu’une « tonte raisonnée » doit être faite sur le site du moulin afin de protéger les espèces rares. Mais il faudra faire une tranchée pour enterrer les fils électriques, le devis est en cours de négociation.
  • 40 nouvelles chaises (plutôt confortables) sont arrivées : il s’agit d’un don qui vient de la Truffe Noire. Madame la maire indique qu’elles seront dédiées aux séances de cinéma. De fait, lors de notre soirée-débat du 12 mai avec Jean-Claude Brenot, nous n’y avons pas eu droit, malgré notre demande…

La séance est levée à 21h30.

Notre compte-rendu du conseil municipal du 14 avril 2022

Vous trouverez ci-dessous nos remarques et compléments d’informations au sujet de ce conseil municipal important pour la vie de notre commune car il y était question :

  • de la présentation et du vote des comptes de Gignac pour 2021
  • du budget primitif 2022.

Nous reviendrons plus en détails sur ces deux points dans un prochain article quand nous aurons pu travailler les différents points de ces votes en examinant les documents en mairie : c’est en effet compliqué de découvrir et de comprendre en même temps ces chiffres pendant le conseil !

Une information, une rectification et une constatation :

  • Ces comptes ont été présentés par Marie-France Delarbre, notre secrétaire de mairie, car la comptable du trésor était absente.
  • Dans le PV de ce conseil publié sur le site communal, nous avons relevé une erreur que nous nous permettons de rectifier. Pauline Pirault n’était pas présente et elle était représentée par Benoit Labroue. Ils y avait bien onze présents comme indiqué et non pas douze comme listé dans le PV. Par conséquent, il y avait trois conseillers représentés et non pas deux comme indiqué.
  • Une fois de plus, un bien maigre public puisque nous n’étions que trois ! Nous ne pouvons que regretter le manque de présence des habitants aux conseils municipaux qui sont un temps fort de la démocratie locale. D’autant que l’équipe municipale a fait son possible pour présenter et expliquer les différents points à l’ordre du jour pour ce conseil spécial budget qui a duré presque trois heures !

Un point intéressant pendant la présentation du budget primitif 2022 : Contrairement à l’année dernière, les subventions municipales ont été présentées et votées par l’ensemble des conseillers présents et représentés. Nous reviendrons lors de notre prochain article sur celles-ci d’un montant global de 27 700 € car nous n’avons pas eu le temps de noter la répartition. Par contre, nous pensons qu’il aurait été tout à fait intéressant pour les gignacois que le tableau de cette répartition  soit publié en même temps que le PV du conseil.

Opération cœur de village : comme annoncé dans les points 9 et 10 de l’ordre du jour, après les votes des budgets, il a été question de l’opération cœur de village et des décisions prises et votées à l’unanimité dans ce cadre.

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Deux conseils pour le prix d’un… mais pourquoi ?

Un conseil municipal « d’urgence » s’est tenu samedi 19 février à 8 heures 30 du matin en mairie !

Conseil avec l’ordre du jour suivant publié le 17 février :

  1. Délibération n°1 : Instauration d’une provision comptable de portée générale pour créances douteuses ;
  2. Délibération n°2 : Dépenses d’investissement avant le vote du budget 2022 – Délibération autorisant le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement (dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent) ;
  3. Délibération n°3 : Adhésion à Initiatives Emplois et autorisation au Maire pour signer les contrats de mise à disposition de personnel ;
  4. Divers.

Alors qu’un conseil municipal s’est tenu le lundi 14 février !

La publication de l’ordre du jour de ce conseil d’urgence s’est faite avant même la publication du PV de celui du 14 et puis quelle diligence, le PV de celui du 19 est déjà publié !

Mais alors qu’est devenu celui du 14 février ?

Et pourquoi ce conseil d’urgence avec cet ordre du jour alors qu’il est le même que celui du 14 et que le PV du 14 est purement escamoté pour ne laisser place qu’à celui du 19 ?

Beaucoup de questions qui sont pour l’instant sans réponse car dans le PV du 19 février il n’est fait nulle part référence à celui du 14 !

Nous n’avons malheureusement pas pu y participer car nous n’étions pas au courant de cette urgence à refaire un conseil 4 jours plus tard, pour à priori la même chose !

Pourquoi alors ne pas utiliser  « Intramuros » pour annoncer au moins les conseils municipaux comme le font déjà nombre de mairies ?

Pour être tout à fait clairs nous vous donnons à lire l’ordre du jour du conseil du 14 février tel qu’il a été publié sur le site de la mairie :

Les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal :

Le lundi 14 février 2022 à 20h30

Gignac, le 08/02/2022

Le Maire, Solange OURCIVAL 

ORDRE DU JOUR :

  1. Délibération n°1 : Instauration d’une provision comptable de portée générale pour créances douteuses ;
  2. Délibération n°2 : Dépenses d’investissement avant le vote du budget 2022 – Délibération autorisant le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement (dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent) ;
  3. Délibération n°3 : Adhésion à Initiatives Emplois et autorisation au Maire pour signer les contrats de mise à disposition de personnel ;
  4. Divers.

Et vous trouverez ICI le PV du conseil du 19 février.

Le conseil municipal du 6 décembre 2021

Vous trouverez ci-dessous notre compte-rendu du dernier conseil qui s’est tenu dans la salle du conseil le 6 décembre 2021. Ce texte va, nous l’espérons, vous apporter quelques informations complémentaires sur le contenu des débats car nous ne pouvons que regretter la brièveté du procès verbal publié sur le site de la commune. En effet, il y manque notamment les éléments qui ont été soulevés en questions diverses (point 7 de l’ordre du jour) et qui ont fait l’objet de plusieurs communications des élus, communications en relation directe avec le quotidien des gignacois.

Public présent : deux représentants de Gignac ensemble !

Premier point à noter et que nous répétons de façon récurrente depuis plusieurs mois, nous n’étions que deux pour entendre et voir ce que nos élus avaient préparé. Certes, et en étant optimiste, on peut penser que l’absence du public est due à la totale confiance qu’ont les gignacois dans l’action de l’équipe communale ou bien que là aussi la pandémie est un frein majeur. Ceci étant, nous considérons toujours le conseil municipal comme un moment important de la démocratie locale.

Notre maire absente

Notre maire étant absente pour raisons de santé, c’est François Moinet, notre 1er maire adjoint qui a mené les débats. Pourquoi cette précision ? Parce qu’à la lecture du PV, nous lisons que contrairement à d’autres conseillers absents (seulement 9 conseillers présents au début de la séance), Madame la Maire ne s’est pas fait représentée par l’un des conseillers présents…

Des informations complémentaires

Délibération n°2 : Demande de subvention au titre de la DETR 2022 (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux)

Nous ne reviendrons pas sur l’urgence pointée par l’équipe municipale de continuer à sécuriser les cheminements piétons dans le bourg, par contre nous nous interrogeons sur le plan de financement de cette opération et sur les aménagements envisagés.

Cette année la commune demandera une subvention de la DETR à hauteur de 30% alors que l’année dernière, pour la rénovation du bâtiment de l’ancienne mairie, la subvention souhaitée était de 50%. Nous ne comprenons pas ce différentiel d’une année sur l’autre, d’autant que le reste à prendre en charge sera pour la commune assez important : près de 60 000 euros hors taxes.

Quant aux aménagements prévus, nous ne savons pas, au moment de la rédaction de cet article, de quel ordre ils seront, tout en espérant ne pas voir d’autres poteaux rouges pousser sur le bord des routes. Il existe sans doute d’autres moyens pouvant être mis en œuvre dans le cadre d’une sécurisation efficace ?

En ce qui concerne les délibérations n°3 et 4 : nous avons eu quelques difficultés (comme certains conseillers qui ont demandé des précisions) à suivre l’exposé de François Moinet.

Voilà ce que nous en avons compris :

  • Augmentation des frais de scolarité demandés à la commune d’Estivals pour la scolarisation des élèves de cette commune à l’école de Gignac, soit +87€ pour un élève de maternelle et +293€ pour un élève d’élémentaire. Les frais deviennent donc identiques pour un élève de la maternelle et un élève de l’élémentaire. Cela nous semble logique dans la mesure où les enfants sont accueillis dans les mêmes locaux pour les mêmes prestations. Par contre nous n’avons pas d’explications sur les raisons de ces augmentations, quoique…
  • Depuis la rentrée 2021, le conseil régional d’Occitanie ayant constaté que des élèves corréziens du RPI empruntaient les transports scolaires de notre région, il a demandé à la commune d’Estivals le remboursement du ramassage sur son territoire. Estivals ne voulant pas prendre en charge ces frais de transport, la région s’est tournée ensuite vers les familles de ces élèves pour leur réclamer les frais de transport. Résultat, Gignac va payer cette participation d’où une opération blanche : d’un côté une augmentation des frais de scolarité de 190 euros par enfant (en moyenne entre maternelle et élémentaire) pour Estivals, et Gignac va payer 195 euros de transport scolaire par enfant d’Estivals scolarisé !

Délibération n°6 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur le programme 119 « Gros travaux divers »

Nous ne pouvons que noter cette décision modificative sans pour autant en connaître les raisons. Loin de nous de contester la nécessité d’une telle décision mais nous aurions au moins apprécié quelques éclaircissements.

Questions diverses

  • Le prochain Gignac Info paraîtra en janvier 2022

Rappel : le précédent numéro a été publié en mars 2021. A ce jour nous n’avons toujours pas reçu de courrier de la municipalité nous demandant la rédaction d’un article relatif à la vie de notre association.

  • Les nouveaux pylônes supportant les relais téléphoniques

Un quart d’heure de discussion à ce sujet qui semble important notamment en terme de pollution lumineuse, résolue depuis. Cependant ces pylônes correspondent bien aux demandes prioritaires de la commune, à savoir que le bourg ne soit plus une zone blanche. En revanche, des gignacois nous ont également fait savoir que ce pylône n’héberge toujours pas certains opérateurs comme Free.

Il est également noté que la réalité des communications téléphoniques dans plusieurs hameaux de notre territoire est bien loin d’être en adéquation avec les réalités techniques décrites par les opérateurs. Vivement la fibre partout !

  • Le PLUiH

Le Plan Local d’Urbanisme intercommunal et Habitat (PLUiH) est l’expression du projet de territoire en termes d’aménagement. Il devait remplacer les PLU communaux à l’horizon 2022. Mais celui-ci est très en retard (un an) du fait de la décision de Cauvaldor de cesser tout travail (inopérant) avec les cabinets initialement choisis et de le faire en interne.  Rappel des contraintes de celui-ci dans le cadre de la Loi Climat : limiter l’artificialisation des sols, privilégier des nouvelles constructions en périphérie des bourgs… Donc pour l’instant, c’est toujours le PLU de Gignac qui s’applique sur la commune et plusieurs demandes de modifications relatives à celui-ci ont été transmises à l’intercommunalité.

Il est également à noter une forte pression sur le foncier à bâtir en relation directe avec le développement du Bassin de Brive.

  • Cœur de village

La municipalité qui a fait de ce dossier un des axes majeurs du développement de la commune persiste et va donc renseigner le dossier ad hoc en s’appuyant sur le guide pratique écrit pour l’occasion par les services de Cauvaldor ; voir la fin de l’article de la Dépêche : https://www.ladepeche.fr/2021/10/02/enfance-et-patrimoine-sujets-du-conseil-communautaire-9826395.php

Nous reviendrons prochainement sur cet important dossier quand nous aurons pu prendre connaissance du contenu de ce guide pratique. Nous savons d’ores et déjà que ces opérations Cœur de Village doivent inclure la population et attendons de voir sous quelle forme notre municipalité compte le faire.

  •  L’école

Le projet de labellisation Ecocert pour la restauration scolaire est en avance sur le calendrier initial et celle-ci devrait passer directement au 2ème niveau d’éco-certification. Pour aller plus loin et bien comprendre l’intérêt de ce label vous pouvez vous rendre ici : https://www.ecocert.com/fr-FR/certification/referentiel-en-cuisine

P.J. : PV officiel de ce conseil

Compte-rendu et réflexions suite au conseil municipal du 31 août

Ce conseil municipal s’est tenu dans la salle du conseil en présence de 11 élus et de 4 personnes du public. Nous étions présents, et comme d’habitude cet article se veut un complément d’informations pour ceux qui n’étaient pas présents et il vous donne également à lire nos remarques et commentaires sur ce qui s’est dit pendant ce conseil et à la lecture de son PV.

Délibération n°1 : Programme de voirie 2021 – Aménagement du carrefour Saint-Antoine : Délibération autorisant la Commune de GIGNAC à verser à CAUVALDOR un fonds de concours à hauteur de 1 344€ HT ;

Les élus indiquent que l’aménagement actuel – censé réduire la vitesse des voitures – est totalement inefficace car le STOP n’est que très peu respecté. Une modification de l’intersection a donc été décidée en accord avec le service territorial routier (STR) du Lot.

Cauvaldor est d’accord pour prendre en charge les travaux dans le cadre du programme de voirie 2021 mais demande en contrepartie que Gignac finance à hauteur de 1344€ HT.

Mais ces travaux ne démarreront qu’après l’installation de la fibre car une armoire sera placée à cet endroit.

On regrettera qu’aucun schéma de l’aménagement futur n’ait été projeté de manière à pouvoir se faire une idée claire de ce à quoi cela ressemblera. Nous nous interrogeons également sur les crédits restants au titre de cette ligne budgétaire ou tout simplement du reste à dépenser en matière de voirie car comme nous le verrons plus loin une partie de ces crédits servent depuis quelques mois à régler les échéances des prêts relatifs aux acquisitions patrimoniales de la commune.

Délibération approuvée à l’unanimité (des conseillers présents ou représentés).

 

Délibération n°2 : Décision modificative correspondante.

C’est une conséquence directe et nécessaire de la délibération n°1.

Délibération approuvée à l’unanimité.

 

Délibération n°3 : Adoption du rapport sur le prix et la qualité du service public (RPQS) d’assainissement collectif 2020

Il s’agit du rapport annuel de type RPQS (prix et qualité du service) établi par le SYDED.

On compte 94 abonnés représentant 141 habitants, sensiblement identique à 2019. La facturation représente 5337 m3, en hausse de 11% et les recettes pour la collectivité sont en hausse de 8%. L’abonnement est de 110€ en part fixe sur la base de 120m3 auquel s’ajoutent divers éléments annexes aboutissant à une moyenne tarifaire de 2,82€ / m3.

Ce rapport sera transmis à la préfecture dans les 15 jours puis mis sur le site internet de la commune.

On pourra s’interroger sur cette part fixe de 120m3, totalement décorrélée de la réalité, la même d’ailleurs que pour la consommation d’eau potable qui conduit à ce que moins un foyer consomme d’eau, plus le prix du m3 augmente, en totale contradiction avec la volonté d’aller vers la sobriété et l’économie des ressources naturelles.

Délibération approuvée à l’unanimité.

 

Délibération n°4 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur les articles 66111 et 1641 relatifs aux échéances de l’emprunt de 77 000€ pour l’acquisition de l’immeuble en centre bourg

Il s’agit de l’acquisition de « la maison Bastit » et de l’emprunt associé. Afin de pouvoir payer l’échéance de novembre 2021, il est nécessaire de voter un crédit supplémentaire.

Délibération approuvée à la majorité (1 voix contre).

Explication : La conseillère municipale, qui était contre l’achat de cet ensemble immobilier à la raison qu’elle ne voyait pas pourquoi la municipalité s’engageait dans cet achat avec pour objectif le même projet que celui de l’acheteur privé initialement pressenti, maintient sa position ; position que nous considérons la meilleure en la circonstance puisque l’achat de ce bien obère la capacité de financer des travaux de voirie (car l’emprunt est pour l’instant remboursé sur ce poste budgétaire) et nous savons à quel point nos routes communales sont en mauvais état. Ceci parce que cette décision a été prise dans l’urgence et sans même prendre en considération les travaux qui seront à réaliser pour en faire des appartements locatifs.

 

Délibération n°5 : Convention PUP « Les Genestes » – Avenant relatif au montant de la participation des propriétaires à revoir à la baisse compte tenu du montant des travaux inférieur au montant des prévisions

 PUP signifie Projet Urbain Partenarial.

Il s’agit des travaux d’électrification qui ont été effectués sur des parcelles à viabiliser.

Ces travaux ayant coûté moins cher que l’estimation initiale, il est nécessaire de faire un avenant à la convention passée avec les propriétaires concernés.

Délibération approuvée à la majorité (1 abstention).

 

Divers :

Le Zinc de la Quique

La créance de 31666 euros due par Mickaël Chaumeil a été payée par le mandataire judiciaire.

Et donc qu’est devenue cette somme ? À quel poste budgétaire a-t-elle été affectée ? Il semblerait que ce versement permette de régler dorénavant les échéances du prêt pour l’acquisition de l’ancien multiple rural puisqu’aucun vote de crédits supplémentaires n’a été pris lors de ce conseil (pour éclairer cette remarque voir la Délibération n°7 : Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur les articles 66111 et 1641 relatifs aux échéances de l’emprunt pour l’acquisition du « Zinc de la Quique » – Décision modificative n°3/2021). Et il reste une question : cette somme servira-t-elle également à rembourser les sommes prises depuis ce rachat sur les crédits « entretien voirie » ?

L’école

Les travaux concernant le chauffage sont quasiment terminés et le raccordement au circuit de chaleur se fera fin septembre ou octobre.

Les effectifs à la rentrée 2021 sont de 77 enfants sur le RPI dont 30 pour Gignac, sans compter 9 TPS (très petite section) qui rentreraient en janvier.

Benoît Chastanet se veut rassurant quant à l’avenir de l’école, au moins jusqu’à la rentrée 2023, puisque les effectifs semblent remonter.

Madame la Maire ajoute qu’il faut essayer de faire venir des familles avec enfants dans les logements communaux loués.

Cette intention est louable mais ne doit pas faire oublier la réalité des chiffres, c’est-à-dire une moyenne de 19 élèves par classe sur le RPI et 15 élèves en moyenne sur les deux classes de l’école de Gignac. Il faut aussi noter que les 9 enfants qui seraient accueillis à partir de janvier ne seront pas comptés dans l’effectif global des écoles du RPI car pour l’Education Nationale les « Très petits » ne sont pas pris en compte dans le comptage des élèves d’une école.

Le lotissement de Clou del Pech

Le permis d’aménager a été déposé ce jour à la mairie. Il va être envoyé au Service Instructeur à Cahors qui a 3 mois pour répondre.

➢Terrain « Champ de l’Hôpital »

La négociation pour l’acquisition est en cours.

Encore une nouvelle acquisition que nous apprenons par une simple ligne dans le PV du conseil ! De quoi s’agit-il ? Voilà ce que nous avons compris mais ce n’est pas très clair, d’autant que nous découvrons comme vous ce nouveau rebondissement de l’opération « cœur de village ». Il semblerait que pour la réalisation du projet municipal, il faille que la municipalité se porte acquéreur d’une bande de terrain sous la place de l’église (pour y faire quoi ? Nous n’avons pas eu d’explication). Pour permettre cet achat, il apparaît qu’un accord a été trouvé avec le propriétaire de ce terrain qui l’échangerait à valeur égale contre un terrain au « champ de l’hôpital », dont la municipalité négocie l’acquisition…

Sans entrer dans le débat nous vous rappelons le contenu de l’actualité posté sur le site de la mairie relatif à l’opération « cœur de village » :

L’opération d’urbanisme cœur de village est une opération d’aménagement du bourg, qui sera menée conjointement entre la communauté de communes Cauvaldor et la commune de Gignac. Il s’agit de préserver le patrimoine, d’embellir le cadre de vie, de rendre le village plus fonctionnel et plus agréable à vivre. Initiée par le précédent conseil municipal, en pause depuis la crise du Covid, le projet reprend dans le cadre d’une nouvelle procédure mise en place par Cauvaldor.

Une étude préliminaire sera lancée au quatrième trimestre de cette année. En 2022 les aménagements seront précisés, chiffrés et phasés sur plusieurs années. Après obtention des subventions, les travaux qui seront décidés se feront de 2023 à 2025. Tout au long de la procédure, les habitants de la commune et les associations gignacoises seront informés, consultés et leurs bonnes idées seront prises en compte. Rendez-vous après l’été, pour les premières réunions collectives sur ce sujet.

La réunion publique et le pot

Cette réunion, prévue pour septembre, est reportée au samedi 16 octobre afin de laisser du temps pour une bonne préparation.

Nous nous étonnons du changement de date pour cette rencontre avec les gignacois d’autant que la finalité de cette réunion change également. Il a d’abord été acté lors du conseil du 16 juin ce qui suit : Nous prévoyons de convier l’ensemble des habitants de la Commune le 25 septembre au Moulin pour un pot de remerciements des élus. Ce sera également l’occasion de rencontrer les nouveaux gignacois.

Un mois et demi plus tard il est annoncé dans le PV de ce conseil et d’une simple ligne : « Réunion publique et pot de remerciements : Ils sont reportés au samedi 16 octobre 2021 ».

Nous allons donc avoir droit à une réunion publique mais pour y faire quoi ? Evidemment nous y serons.

Le syndicat des eaux

Un conseiller signale que le rapport du Blagour indique que « l’eau est potable » et qu’il faudrait peut-être le faire savoir à la population… Arnaud Ricou lui répond que le lien a été mis mais que très peu de gens y vont « parce qu’il semblerait que l’eau ne soit pas leur souci ».

Peut-être que ce n’est pas le souci des habitants de Gignac mais pour que les gens soient intéressés, peut-être faut-il leur parler de ce qui peut vraiment les mobiliser, comme le fonctionnement du nouveau syndicat des eaux et la gouvernance de celui-ci. L’ancien syndicat des eaux du Blagour a toujours eu un fonctionnement opaque (voir nos articles précédents à ce sujet) mais ceci ne doit pas rester une fatalité, notamment en ce qui concerne notre consommation d’eau (voir nos commentaires plus haut). Nous pensons que le plus important pour le moment c’est de savoir comment va fonctionner le nouveau syndicat dans la durée et comment vont être pris en charge les travaux à réaliser notamment dans les communes qui ont eu peu ou pas de gros travaux sur leur réseau ces dernières années.

Le pylône du Pech de la Montagne

Benoît Chastanet annonce qu’il a finalement été dressé mais qu’il faut encore attendre 2 à 4 semaines pour la mise en service.

Madame la Maire précise que celui de Falsemoyer subit de fréquents dysfonctionnements.

Le local des infirmières

Les travaux ont bien avancé et il sera prêt d’ici 1 à 2 semaines.

Sans commentaire de notre part, nous avons déjà dit ce que nous en pensions dans un précédent article !

Hormis le point « Divers », ce conseil aura duré, en tout et pour tout, 17 minutes.

Annexe : Procès-Verbal du conseil

Des précisions et notre analyse du dernier conseil municipal

Le dernier conseil municipal s’est tenu à la salle des fêtes le jeudi 27 mai à 20h30 toujours sans public mais en visioconférence cette fois-ci. À l’ordre du jour il y avait plusieurs projets importants qui vont conditionner les prochaines années de notre commune tant par leur coût que par l’impact qu’ils auront sur le développement de celle-ci.

Nous avons donc regardé et écouté avec attention les décisions qui ont été actées lors de ce conseil et nous complèterons le PV par plusieurs éléments présentés mais qui n’ont pas été inscrits dans le procès-verbal et par les réflexions que nous amènent ces délibérations.

 

Délibération n°1 : Acquisition par voie de préemption d’un bien situé en centre bourg appartenant à Madame BASTIT Valérie.

Ce projet d’achat d’un bien immobilier présenté par Madame la Maire s’est fait un peu dans l’urgence du fait même du calendrier et du très court laps de temps entre l’annonce de cette vente à venir par Me Blavignac et le délai pour la prise d’une décision de préemption de ce bien.

En amont de la prise de décision, notre maire a pris soin de rappeler les actes pris en conseil communautaire et en conseil municipal encadrant la préemption d’un bien. Pour être au plus près de ces délibérations, nous vous les rapportons ci-dessous et vous pourrez trouver en annexe à cet article, l’intégralité des deux conseils traitant de cette question.

Conseil communautaire du 7 janvier 2017 :

 Point 39 : Instauration Droit de Préemption Urbain sur le territoire communautaire – Délégation au Président

M. le Président rappelle que, conformément aux dispositions du code de l’urbanisme, l’EPCI compétent en matière d’urbanisme l’est automatiquement pour le droit de préemption urbain.Ce droit permet aux collectivités de mener à bien les politiques foncières dans le cadre de leurs compétences. Le DPU peut être délégué au Président de l’EPCI, qui lui-même a la possibilité de le subdéléguer aux communes pour leur permettre de mener à bien des projets spécifiques.

En ce qui concerne les communes dotées d’une carte communale, le DPU ne s’applique pas sur un zonage mais uniquement sur les parcelles concernées par un projet prédéterminé.

– DE DIRE qu’un registre dans lequel seront inscrites toutes les acquisitions réalisées par exercice du droit de préemption et des précisions sur l’utilisation effective des biens acquis, sera ouvert et consultable au siège de la communauté de communes aux jours et heures habituels d’ouverture.

– DE DIRE que la présente délibération sera annexée aux documents d’urbanisme des communes du territoire.

Conseil municipal du 23 mai 2020 :

 3- Délégation du conseil municipal au maire :

10 – Exercer, au nom de la commune, les droits de préemption définis par le code de l’urbanisme, que la commune en soit titulaire ou délégataire, déléguer l’exercice de ces droits à l’occasion de l’aliénation d’un bien selon les dispositions prévues au premier alinéa de l’article L. 213-3 de ce même code dans les conditions que fixe le conseil municipal

Suite à ces rappels Madame la Maire explique les raisons de cette préemption : « Considérant que cette importante habitation permettrait la réalisation du projet envisagé par la municipalité à savoir, la rénovation et la création de logements communaux destinés à la location ainsi que la création de jardins partagés, »

Et c’est bien sur ce sujet que portent nos interrogations : la façon de gérer ce que nos édiles nomment la réserve foncière de la commune varie en fonction des conseils.

Lors d’un précédent conseil, un bien est vendu à une personne installée de longue date dans la commune ; pendant un autre conseil une gignacoise se proposant d’acheter le logement communal qu’elle loue est déboutée. Et voilà que la commune se porte acquéreur de la maison Bastit et de son terrain pour en faire des logements à louer alors que la personne qui devait acheter ce bien à Valérie Bastit avait le même projet. Cet argument a été mis en avant par l’un des conseillers ayant voté contre ce projet !

N’aurait-il pas été plus simple de laisser M. Galarza acheter cette maison pour en faire des logements, ce qui à coup sûr aurait amené de nouveaux habitants, plutôt que de faire un nouvel emprunt pour cette acquisition ? Emprunt qui ne devrait pas alourdir l’endettement de la commune (voir délibération n°2) mais qui ne l’allège pas non plus sans présager du financement des travaux de rénovation. Ceux-ci feront l’objet de subventions mais l’exemple récent de la rénovation énergétique de l’ancienne mairie tend à nous prouver que cette opération ne se fera pas à coût zéro.

Ce projet était-il primordial pour la commune ?

Voilà la question que nous pouvons nous poser. Aux dires d’autres conseillers présents, il s’agit d’une bonne affaire eu égard au prix de ce bien (mais hors travaux !), mais la commune a-t-elle pour vocation de devenir propriétaire des biens à vendre dans le bourg, et en poussant un peu le bouchon, pourquoi ne pas se porter acquéreur d’autres biens dans les hameaux ?

Quoiqu’il en soit cela a un coût et doit faire partie d’un projet identifiable par les habitants.

Dernière remarque au sujet de cette préemption : le devenir du terrain lié au sort de cette maison :

Madame la Maire nous explique que ce terrain servira à la création de jardins partagés. C’est clair et cela lève les interrogations qui ont circulé depuis que cet achat a été connu, surtout quant à sa situation géographique à proximité de l’ancien multiple rural bientôt racheté par la commune.

Ceci étant, une intervention d’une des conseillères présentes nous a un peu rendus perplexe puisqu’elle explique que l’achat seul de ce terrain n’étant pas possible (toujours pour y faire des jardins partagés ?), la municipalité s’est portée vers le choix d’un achat global maison + terrain.

Cette création reprendra-t-elle le projet porté à la connaissance de l’ancienne équipe municipale peu de temps avant les élections par quelques gignacois ? Ce projet avait reçu un bon accueil du conseil et les choses semblaient pouvoir se concrétiser rapidement, mais depuis les élections nous n’avons plus de nouvelles sur son avancement. Ce pourrait être une bonne façon de relancer l’intérêt de nos concitoyens pour la chose publique !

Délibération n°2 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires relatifs à l’inscription de l’acquisition en dépense et recette au budget.

Le montant de l’acquisition et des frais notariés s’élève à environ 77 000€. Cette dépense sera inscrite au budget de la commune et sera financée par un emprunt de 77 000€.
À noter que l’endettement de la commune reste stable compte tenu de l’effacement de deux annuités d’emprunt (une en 2020 et une en 2021 pour un montant total de 15 400€)

 Décision modificative n°1/2021

Madame la Maire expose au Conseil municipal que les crédits ouverts aux articles ci-après du budget de l’exercice 2021, ayant été insuffisants, il est nécessaire de voter des crédits supplémentaires et/ou de procéder aux réajustements des comptes et d’approuver les décisions modificatives suivantes.

Cette modification s’explique comme nous l’avons dit plus haut par la nécessité d’une réponse rapide et par le fait que cet achat n’était pas prévu dans le budget initial 2021… d’où l’obligation de cette décision supplémentaire.

Délibération n°3 : Rénovation énergétique du bâtiment ECOLE/CANTINE et des 3 logements situés à l’étage – Validation des devis relatifs à l’installation de la chaufferie biomasse et à la réalisation d’une tranchée destinée à l’alimentation en chauffage de la cantine – Validation du devis relatif au renfort et à la mise en sécurité des linteaux de fenêtres du rez-de-chaussée.

L’installation de la chaudière à biomasse.

Après que Madame la Maire nous ait expliqué que le seuil de mise en concurrence obligatoire des marchés publics a été relevé jusqu’au 31/12/2022 à 100 000 €, nous pensions que la rénovation énergétique du bâtiment ancienne mairie /cantine entrait dans cette problématique eu égard à son coût global et que nous allions voir comment fonctionnent ces marchés publics.

Que nenni, le projet se voit réparti en 4 lots correspondant de fait aux 4 corps de métiers intervenant dans sa réalisation, et du coup exit la mise en concurrence obligatoire, le choix se faisant à partir de devis demandés par la municipalité.

Ainsi, pour le poste le plus coûteux, à savoir l’installation de la chaudière, le choix s’est porté sur le devis de Lot Energie, devis qui avait déjà été présenté lors des différents conseils actant cette rénovation. Madame la Maire nous expliquant que deux autres entreprises ont été contactées : la société Picoulet qui n’a pas souhaité donner suite et la société Delcambre qui n’a pas répondu. Peut-être aurait-il fallu contacter d’autres entreprises afin de situer le devis de Lot Energie dans le marché ? Car là, les conseillers n’ont eu qu’un choix particulièrement restreint…

Mais évidemment il est plus facile de se poser la question devant son clavier que face à la réalité des entreprises de notre territoire.

Concrètement, cette entreprise qui a installé les poêles à granulés dans les logements locatifs de la commune aurait un créneau courant juillet pour réaliser les travaux sur le temps des vacances scolaires.

Pour les autres postes du projet :

— isolation de la chaufferie, là aussi un seul devis celui de l’entreprise Mas

— pour la tranchée de raccordement de la cantine au chauffage, deux devis ont été présentés et celui retenu fut celui du moins disant à savoir Corrèze BTP mis en concurrence avec la société Delpech.

— le renfort des linteaux des ouvertures de l’école sera quant à lui confié à l’entreprise Delpech qui a déjà réalisé une première tranche de ces travaux.

4-Divers

4.1- Adressage : compte-rendu de la réunion du 27/05/2021 avec le SDAIL

Si vous êtes un lecteur assidu de nos articles (pour les autres vous la trouverez sur notre site avec le mot clé « Baladou »), nous avons expliqué la méthode employée dans la commune de Baladou où les habitants ont été régulièrement consultés pour ce travail et ont également participé à la dénomination des voies lors de réunions publiques et un cahier de doléances à ce sujet avait été installé en mairie.

Pourquoi cette remarque ? Elle répond aux préoccupations de Didier Faurel qui présentait ce sujet et qui expliquait qu’il y allait avoir beaucoup de travail avec une copie à rendre pour cet automne. Cette méthode ne pourrait-elle pas faire gagner du temps et de l’énergie à tous ?

Quand le travail de dénomination des voies sera terminé, la SDAIL devra envoyer le nom des voies à l’IGN et il nous faudra ensuite nous rendre en mairie pour effectuer notre changement d’adresse comme si nous avions déménagé.

Restera encore un long travail d’installation des poteaux et des plaques le long des voies, et la municipalité dans un souci d’économie devrait le réaliser avec les employés communaux et les conseillers (avec l’aide des gignacois ?).

4.2- Rachat du café commerce par la collectivité : accompagnement des élus par l’ADEFPAT (acteur projets territoires ruraux) pour la réussite du projet envisageable pour l’exploitation de ce lieu – compte rendu de la réunion du 25/05/2021

La municipalité a fait le choix d’un accompagnement par l’ADEFPAT (association de développement des pays aveyronnais et tarnais) afin de déterminer les besoins et de définir le projet communal relatif au rachat de l’ancien multiple rural.

Nous ne pouvons que nous féliciter de ce choix qui par exemple a permis il y a maintenant de nombreuses années l’émergence du projet associatif Ecaussystème.

Si le C.A. de l’ADEFPAT choisit d’accompagner ce projet, pourquoi ne pas ouvrir ce temps de formation et d’échanges à d’autres personnes que les membres du conseil municipal ?

Ce serait une vraie chance pour notre territoire de voir se développer les projets associatifs ou entrepreneurials.

4.3- Compte-rendu de la réunion « Cœur de Village » : un scoop !

Didier Faurel a fait le compte rendu de la réunion qui s’est tenue à Cauvaldor, réunion ayant pour sujet l’opération « Cœur de village ». Gignac ayant été une des premières communes de notre territoire à travailler sur ce projet, nous serons parmi les premiers à voir ce projet débuter.

Le budget des travaux en question est un des plus important de cette opération avec celui de Miers, pourquoi ? Parce que nous avons eu confirmation du rapporteur que la reconstruction d’une halle sur la place de l’église était bien dans les tuyaux.

Ceci étant, Benoît Chastanet a tenu à préciser que les habitants seront associés à chaque étape et pour le choix des travaux lors de réunion(s) publique(s) quand cela sera possible, en commençant par les riverains…

Autre point non renseigné dans le PV :

Les conseillers ont acté la refonte du système téléphonique de la mairie passant à un système numérique après abandon des abonnements France Télécom et ont approuvé à l’unanimité le devis de la société Faurie Télécom et Sécurité pour un montant de 3800 €.

Annexes :

PV du Conseil communautaire du 7 janvier 2017

PV du Conseil municipal du 23 mai 2020

PV du Conseil municipal du 27 mai 2021